La mue du Parti Démocratique Sénégalais (PDS) est inévitable. C’est le vœu le plus cher de son patron et propriétaire, le président Abdoulaye Wade. Il est, en effet, en train d’accélérer la procédure et se fixe comme délai en juin 2010. Le leader du PDS ou du futur Parti Démocratique Sénégalais Libéral compte ainsi apporter toutes les corrections pour arriver à son but et conduire ses troupes à la victoire de février 2012.
Le chef de file des libéraux a convoqué le mercredi dernier une réunion à la présidence de la République avec les commissaires qui ont été retenus pour mener les opérations de vente des cartes et de renouvellement des instances de base. Ces initiatives du secrétaire général national du PDS qui ont pour finalité de muer vers une autre appellation, une autre organisation politique ne sera pas sans danger.
En effet, ces activités vont encore faire naître ou raviver les querelles intestines de positionnement et de blindage. Ce qui pourrait envenimer la situation de déchirement et de crise permanente que vit le PDS depuis quasiment 2001.
Cette guerre larvée des libéraux s’est accentuée à l’arrivée massive de transhument venant de l’ancien région socialiste. Ils ont été nombreux ces transfuges à occuper les postes stratégiques du pouvoir et à étendre leurs tentacules jusqu’à bousculer certaines positions de militants et responsables PDS de souche.
Cette volonté du leader du PDS de rebaptiser et de réorganiser sa formation politique obéit à une forte mutation du landerneau politique et surtout du parti. En effet, beaucoup de partis politiques ou de personnalités politiques sont venus se greffer au PDS. La donne des mouvements et structures satellites du PDS est aussi à considérer. La Génération du concret dirigée par le fils du leader incontesté du PDS a tout bouleversé. Karim Wade après sa tentative de récupérer la ville de Dakar lors des élections locales qui a échoué est casé dans le gouvernement. Ce désaveu de la Génération du concret et surtout du fils d’Abdoulaye Wade a incité la seule constante au niveau des libéraux à se retrouver sur d’autres schémas. Celui-ci sera-t-il le bon ?
Le chef de file des libéraux a convoqué le mercredi dernier une réunion à la présidence de la République avec les commissaires qui ont été retenus pour mener les opérations de vente des cartes et de renouvellement des instances de base. Ces initiatives du secrétaire général national du PDS qui ont pour finalité de muer vers une autre appellation, une autre organisation politique ne sera pas sans danger.
En effet, ces activités vont encore faire naître ou raviver les querelles intestines de positionnement et de blindage. Ce qui pourrait envenimer la situation de déchirement et de crise permanente que vit le PDS depuis quasiment 2001.
Cette guerre larvée des libéraux s’est accentuée à l’arrivée massive de transhument venant de l’ancien région socialiste. Ils ont été nombreux ces transfuges à occuper les postes stratégiques du pouvoir et à étendre leurs tentacules jusqu’à bousculer certaines positions de militants et responsables PDS de souche.
Cette volonté du leader du PDS de rebaptiser et de réorganiser sa formation politique obéit à une forte mutation du landerneau politique et surtout du parti. En effet, beaucoup de partis politiques ou de personnalités politiques sont venus se greffer au PDS. La donne des mouvements et structures satellites du PDS est aussi à considérer. La Génération du concret dirigée par le fils du leader incontesté du PDS a tout bouleversé. Karim Wade après sa tentative de récupérer la ville de Dakar lors des élections locales qui a échoué est casé dans le gouvernement. Ce désaveu de la Génération du concret et surtout du fils d’Abdoulaye Wade a incité la seule constante au niveau des libéraux à se retrouver sur d’autres schémas. Celui-ci sera-t-il le bon ?
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