Insensible, l’équipe a méthodiquement fait plier puis totalement rompre St Etienne en deuxième mi-temps.
Le début de match avait pourtant semé des inquiétudes. Les Verts y avaient abattu toutes leurs cartes, d’entrée. L’orage fut intense. Mais il ne dura que quelques minutes. Tout au plus. La possession de balle stéphanoise (jusqu’à 61%) s’amenuisa peu à peu. Lentement mais surement, l’OM mit son empreinte sur le match. Avec une première alerte quand Brandao hérita d’un ballon contré, mais ne parvint pas à tromper Janot, de près (13e).
Niang aura une autre situation intéressante (33e), mais le gros des occasions se regroupèrent en deuxième période. Les Olympiens y affichèrent un véritable esprit de conquête. La formation d’Alain Perrin connut dès la reprise (et l’entrée de Ben Arfa à la place de Koné) des minutes pénibles. Le danger revenait sur elle, sans cesse. Elle ne s’en défaisait pas.
Inexorable, l’ouverture marseillaise emprunta la voie d’un penalty pour se concrétiser. Sur un coup-franc repoussé par Janot, Niang était accroché dans la surface alors qu’il s’apprêtait à reprendre. Le Sénégalais s’en chargeait, et mettait ko St Etienne (60e, 0-1).
La volonté stéphanoise de sortir de la relégation ne pesa dès lors plus bien lourd. Ben Arfa déchira la défense, mais buta sur Janot. Puis Brandao, à la réception d’un centre impeccable de Cheyrou, fit le break décisif (73e, 0-2). L’ASSE ne s’en relèvera pas, craquant une dernière fois, trois minutes plus tard. Coup-franc de Ben Arfa, déviation (contrée) de Civelli, et nouvelle tête de Niang pour enterrer six pieds sous terre les derniers espoirs foréziens (76e, 0-3). De quoi dérouler ensuite, sourire aux lèvres, et sous les « olés », comme au Parc des Princes. Avec quelques occasions- bonus pour encore enjoliver une 2e mi-temps superbe.
3-1 à Paris, 3-0 à St Etienne, quelle saison !
Le début de match avait pourtant semé des inquiétudes. Les Verts y avaient abattu toutes leurs cartes, d’entrée. L’orage fut intense. Mais il ne dura que quelques minutes. Tout au plus. La possession de balle stéphanoise (jusqu’à 61%) s’amenuisa peu à peu. Lentement mais surement, l’OM mit son empreinte sur le match. Avec une première alerte quand Brandao hérita d’un ballon contré, mais ne parvint pas à tromper Janot, de près (13e).
Niang aura une autre situation intéressante (33e), mais le gros des occasions se regroupèrent en deuxième période. Les Olympiens y affichèrent un véritable esprit de conquête. La formation d’Alain Perrin connut dès la reprise (et l’entrée de Ben Arfa à la place de Koné) des minutes pénibles. Le danger revenait sur elle, sans cesse. Elle ne s’en défaisait pas.
Inexorable, l’ouverture marseillaise emprunta la voie d’un penalty pour se concrétiser. Sur un coup-franc repoussé par Janot, Niang était accroché dans la surface alors qu’il s’apprêtait à reprendre. Le Sénégalais s’en chargeait, et mettait ko St Etienne (60e, 0-1).
La volonté stéphanoise de sortir de la relégation ne pesa dès lors plus bien lourd. Ben Arfa déchira la défense, mais buta sur Janot. Puis Brandao, à la réception d’un centre impeccable de Cheyrou, fit le break décisif (73e, 0-2). L’ASSE ne s’en relèvera pas, craquant une dernière fois, trois minutes plus tard. Coup-franc de Ben Arfa, déviation (contrée) de Civelli, et nouvelle tête de Niang pour enterrer six pieds sous terre les derniers espoirs foréziens (76e, 0-3). De quoi dérouler ensuite, sourire aux lèvres, et sous les « olés », comme au Parc des Princes. Avec quelques occasions- bonus pour encore enjoliver une 2e mi-temps superbe.
3-1 à Paris, 3-0 à St Etienne, quelle saison !
Le premier but marqué par par pénalty par Mamadou Niang
Le deuxième but sur une tête de Brandao
Une tête de Niang trompe Janot
La joie dans le camp de l'OM