Plus de 108 milliards de Fcfa ont été réunis par le gouvernement sénégalais dans le cadre du Programme d’urgence de développement communautaire (Pudc) dont la deuxième phase est prévue en octobre prochain.
Ce financement est de la Banque islamique de développement (Bid), de la Banque africaine de développement et du Fonds saoudien, compte tenu des engagements du secteur privé. La Bid a mis sur table 50 milliards Fcfa, 30 milliards Fcfa pour la Bad. Le Fonds saoudien a octroyé 28 milliards Ffcfa.
Les départements de Kébémer, Tivaoune et la Casamance qui sont concernés, « seront dotés d’infrastructure sociaux-économiques de base pour répondre avec célérité et efficacité aux besoins vitaux des territoires ruraux, dans un souci d’équité et de justice sociale », d’après Souleymane Jules Diop.
Ce financement est de la Banque islamique de développement (Bid), de la Banque africaine de développement et du Fonds saoudien, compte tenu des engagements du secteur privé. La Bid a mis sur table 50 milliards Fcfa, 30 milliards Fcfa pour la Bad. Le Fonds saoudien a octroyé 28 milliards Ffcfa.
Les départements de Kébémer, Tivaoune et la Casamance qui sont concernés, « seront dotés d’infrastructure sociaux-économiques de base pour répondre avec célérité et efficacité aux besoins vitaux des territoires ruraux, dans un souci d’équité et de justice sociale », d’après Souleymane Jules Diop.