Le Sénégal accueille pour le 15 et 16 décembre, le Forum sur « la paix et la Sécurité en Afrique ». Cette rencontre revient sur les potentialités de développement des pays Africain face à la menace terroriste.
La situation du Nigéria résume à lui seul le paradoxe de cette nouvelle Afrique en marche, qui est en devenir, où l'encrage de la modernité cohabite paradoxalement avec l'engrenage de fléau comme la corruption, les régimes élitistes et l'émergence de groupes armées, milices réseaux et organisation criminelles.
Prenant part à la rencontre, le ministre Français de la défense, à cité l'exemple de la menace de Boko Haram. « Aujourd'hui, la question n'est plus de savoir si Boko Haram est un problème national ou régional. Les attaques barbares qui ravagent le nord du Cameroun nous apportent hélas la réponse. La question urgente qui se pose est de savoir comment peuvent se mettre en place les éléments d'une réponse régionale, concertée, coordonnée, à cette menace sans précédent que représente le mouvement Boko Haram » souligne LeDrian.
Le Secte Boko Haram qui terrorise le Nigéria s'est rendu coupable de la mort de pas moins de 3 000 personnes depuis sa mutation en mouvement d'insurrection armé en 2003. Mais depuis 2010, les exactions de cette organisation prennent des proportions inquiétantes. Rien que l'évocation crée de mouvement de panique qui fait de son agressivité et la violence de ses actes.
« Au Sahel, je constate qu'une dynamique de coopération inédite se met en place. Au travers de l'opération Barkhane, nous avons mis en place un cadre pour que ce mouvement s'amplifie et se traduise par des développements concrets » lance Jean Yves.
Faire face à Boko Haram, c'est, dans la ligne tracée par le sommet de Paris, une coopération sans précédent qui est mise en œuvre dans le cadre de la Communauté du Bassin du Lac Tchad.
La situation du Nigéria résume à lui seul le paradoxe de cette nouvelle Afrique en marche, qui est en devenir, où l'encrage de la modernité cohabite paradoxalement avec l'engrenage de fléau comme la corruption, les régimes élitistes et l'émergence de groupes armées, milices réseaux et organisation criminelles.
Prenant part à la rencontre, le ministre Français de la défense, à cité l'exemple de la menace de Boko Haram. « Aujourd'hui, la question n'est plus de savoir si Boko Haram est un problème national ou régional. Les attaques barbares qui ravagent le nord du Cameroun nous apportent hélas la réponse. La question urgente qui se pose est de savoir comment peuvent se mettre en place les éléments d'une réponse régionale, concertée, coordonnée, à cette menace sans précédent que représente le mouvement Boko Haram » souligne LeDrian.
Le Secte Boko Haram qui terrorise le Nigéria s'est rendu coupable de la mort de pas moins de 3 000 personnes depuis sa mutation en mouvement d'insurrection armé en 2003. Mais depuis 2010, les exactions de cette organisation prennent des proportions inquiétantes. Rien que l'évocation crée de mouvement de panique qui fait de son agressivité et la violence de ses actes.
« Au Sahel, je constate qu'une dynamique de coopération inédite se met en place. Au travers de l'opération Barkhane, nous avons mis en place un cadre pour que ce mouvement s'amplifie et se traduise par des développements concrets » lance Jean Yves.
Faire face à Boko Haram, c'est, dans la ligne tracée par le sommet de Paris, une coopération sans précédent qui est mise en œuvre dans le cadre de la Communauté du Bassin du Lac Tchad.
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