Une affaire de vol secoue depuis hier mardi le Palais de la République. En effet, le chef du Parc automobile de la Présidence, Mactar Sylla a eu la surprise désagréable de constater que certains documents confidentiels qu’il avait soigneusement gardés dans sa voiture ont été chipés dans le parking de l’Hôpital Principal par des laveurs de voiture. C’est ce qu’il a fait savoir dans une plainte déposée par lui-même au commissariat de Dakar Plateau.
« Les laveurs de voiture ont emporté avec eux 1.800.000 FCFA et des documents confidentiels du
Parc automobile de la Présidence. Les documents et l’argent étaient en lieu sûr dans ma voiture», a confié à nos confrères de « L’observateur », Mactar Sylla qui ne cache pas son étonnement. A cet effet, informée de l’incident, la hiérarchie a lancé aux trousses les enquêteurs de la Sûreté urbaine qui ont fait une descente au parking de l’Hôpital Principal, avant d’acheminer les laveurs qui étaient sur les lieux à la police centrale.
Des sources proches de l’enquête indiquent que les laveurs de voitures arrêtés ont tous nié les faits qui leur sont reprochés, même si les limiers disent être sur une bonne piste. Toutefois, ces documents confidentiels disparus pourraient entraver l’Etat dans sa politique de recherche des voitures disparus du Parc automobile de la Présidence.
« Les laveurs de voiture ont emporté avec eux 1.800.000 FCFA et des documents confidentiels du
Parc automobile de la Présidence. Les documents et l’argent étaient en lieu sûr dans ma voiture», a confié à nos confrères de « L’observateur », Mactar Sylla qui ne cache pas son étonnement. A cet effet, informée de l’incident, la hiérarchie a lancé aux trousses les enquêteurs de la Sûreté urbaine qui ont fait une descente au parking de l’Hôpital Principal, avant d’acheminer les laveurs qui étaient sur les lieux à la police centrale.
Des sources proches de l’enquête indiquent que les laveurs de voitures arrêtés ont tous nié les faits qui leur sont reprochés, même si les limiers disent être sur une bonne piste. Toutefois, ces documents confidentiels disparus pourraient entraver l’Etat dans sa politique de recherche des voitures disparus du Parc automobile de la Présidence.