Le Rapport sur le paludisme dans le monde de 2017 fait état de 194 millions de cas en 2016, contre 191 millions en 2015, soit une hausse sur le continent africain, sauf à Madagascar, au Sénégal, au Zimbabwe, en Éthiopie et en Gambie.
Sur basant sur ledit rapport, ALMA, une coalition de chefs d’État et de gouvernement africains coopérant par-delà les frontières pour éliminer le paludisme en Afrique d’ici 2030, indique en revanche qu’ « au cours de la même période, le taux de mortalité dû au paludisme en Afrique a été divisé par 2 000 ».
Mais, « quatre (4) pays ont enregistré plus de 250 000 cas de plus en 2016 par rapport à 2015 ». Il s’agit du Rwanda, du Nigéria, de la République Démocratique du Congo et du Niger. Le rapport évoque aussi « un total de huit (8) pays africains qui enregistrent en 2016 une hausse du nombre de cas supérieure à 20 %, comparé aux chiffres de 2015 ».
Selon le Secrétaire de direction de l’Alliance des dirigeants africains contre le paludisme, « le Rapport sur le paludisme dans le monde de cette année nous alerte que nous pourrions perdre les progrès incroyables que nous avons faits dans la lutte contre le paludisme et la mortalité en Afrique si nous n’agissons pas davantage pour sauver des vies de cette maladie évitable et traitable ».
Joy Phumaphi a rappelé que « l’an dernier, le paludisme a tué 407 000 personnes sur le continent ». Dans le même temps, fait-il constater, « nous avons perdu l’équivalent de 12 milliards de dollars en productivité, en investissements et en coûts de santé associés ».
Avec APS
Sur basant sur ledit rapport, ALMA, une coalition de chefs d’État et de gouvernement africains coopérant par-delà les frontières pour éliminer le paludisme en Afrique d’ici 2030, indique en revanche qu’ « au cours de la même période, le taux de mortalité dû au paludisme en Afrique a été divisé par 2 000 ».
Mais, « quatre (4) pays ont enregistré plus de 250 000 cas de plus en 2016 par rapport à 2015 ». Il s’agit du Rwanda, du Nigéria, de la République Démocratique du Congo et du Niger. Le rapport évoque aussi « un total de huit (8) pays africains qui enregistrent en 2016 une hausse du nombre de cas supérieure à 20 %, comparé aux chiffres de 2015 ».
Selon le Secrétaire de direction de l’Alliance des dirigeants africains contre le paludisme, « le Rapport sur le paludisme dans le monde de cette année nous alerte que nous pourrions perdre les progrès incroyables que nous avons faits dans la lutte contre le paludisme et la mortalité en Afrique si nous n’agissons pas davantage pour sauver des vies de cette maladie évitable et traitable ».
Joy Phumaphi a rappelé que « l’an dernier, le paludisme a tué 407 000 personnes sur le continent ». Dans le même temps, fait-il constater, « nous avons perdu l’équivalent de 12 milliards de dollars en productivité, en investissements et en coûts de santé associés ».
Avec APS