Pendant toute la journée de jeudi, impossible d’échanger sur les réseaux sociaux, impossible de commander un chauffeur de VTC, impossible aussi de faire des opérations bancaires traditionnelles, en raison de « l’absence de compensation via la Bcéao », indique une source proche du dossier. « Il n’y avait pas d’échanges entre les banques », poursuit cette source.
Tout le quotidien des Ivoiriens tourne au ralenti. Dans la vie privée, tout comme dans les entreprises, tout le monde dépend d’Internet. De 70% à 80% des utilisateurs sont abonnés chez Orange et MTN, se trouvant donc au cœur du problème. Une ruée a eu lieu jeudi dans la journée vers les points de vente de l’opérateur Moov, le seul opérateur à échapper à cette panne.
« Situation inédite » pour le gouvernement
Il n’y a pas de certitude à l'heure actuelle sur la cause du problème. Mais deux hypothèses tiennent la corde, selon le président du cabinet de télécom Tactis Stéphane Lelux, qui compte parmi ses clients l'un des consortiums propriétaires des câbles concernés.
Du côté du gouvernement ivoirien, on parle d’une « situation inédite », commente une source gouvernementale. Au moins quatre câbles sous-marins ont été endommagés, les câbles des fournisseurs Orange et de MTN ont été touchés. À cela s’ajoutent les « back-ups » de la société Main One.
Le fournisseur MTN a été le 1er impacté, dès mardi : ses deux câbles majeurs sur terre ont été coupés lors de travaux de voirie, indique un responsable de la société. Dans l’urgence, il a fallu faire basculer tout le trafic sur les réseaux utilisés par Moov.
Des solutions alternatives coûteuses et réparations longues
Au niveau du gouvernement, une cellule de crise a été mise en place. Il faut chercher des alternatives pour contourner ce problème le temps des réparations. Mais cela peut coûter très cher, explique une source.
Quant à la réparation, cela peut prendre un peu de temps. Car il faut d’abord repérer l’endroit endommagé en mer avant d’intervenir. Il faut compter, ensuite, plusieurs jours de réparation.
Tout le quotidien des Ivoiriens tourne au ralenti. Dans la vie privée, tout comme dans les entreprises, tout le monde dépend d’Internet. De 70% à 80% des utilisateurs sont abonnés chez Orange et MTN, se trouvant donc au cœur du problème. Une ruée a eu lieu jeudi dans la journée vers les points de vente de l’opérateur Moov, le seul opérateur à échapper à cette panne.
« Situation inédite » pour le gouvernement
Il n’y a pas de certitude à l'heure actuelle sur la cause du problème. Mais deux hypothèses tiennent la corde, selon le président du cabinet de télécom Tactis Stéphane Lelux, qui compte parmi ses clients l'un des consortiums propriétaires des câbles concernés.
Du côté du gouvernement ivoirien, on parle d’une « situation inédite », commente une source gouvernementale. Au moins quatre câbles sous-marins ont été endommagés, les câbles des fournisseurs Orange et de MTN ont été touchés. À cela s’ajoutent les « back-ups » de la société Main One.
Le fournisseur MTN a été le 1er impacté, dès mardi : ses deux câbles majeurs sur terre ont été coupés lors de travaux de voirie, indique un responsable de la société. Dans l’urgence, il a fallu faire basculer tout le trafic sur les réseaux utilisés par Moov.
Des solutions alternatives coûteuses et réparations longues
Au niveau du gouvernement, une cellule de crise a été mise en place. Il faut chercher des alternatives pour contourner ce problème le temps des réparations. Mais cela peut coûter très cher, explique une source.
Quant à la réparation, cela peut prendre un peu de temps. Car il faut d’abord repérer l’endroit endommagé en mer avant d’intervenir. Il faut compter, ensuite, plusieurs jours de réparation.
Autres articles
-
Mali: le général de division Abdoulaye Maïga nommé Premier ministre de transition
-
Syrie: 68 morts dans les frappes israéliennes contre des groupes pro-iraniens à Palmyre (nouveau bilan)
-
États-Unis: Elon Musk détaille son «projet» de réforme de l'État dans le «Wall Street Journal»
-
Egypte: une loi sur les réfugiés adoptée par le Parlement
-
Plongée dans la machine de désinformation russe en Centrafrique