Sale temps au PDS (Parti Démocratique Sénégalais) où l’ancien maire, député et plusieurs fois ministre sous la présidence d'Abdoulaye Wade vient de claquer la porte.
«Les dernières investitures que nous venons de vivre l’ont montré très largement, que les démons du passé ont encore envahi le parti. Et, c’est en tirant les leçons de tout cela, le manque de démocratie, le manque de respect et de considérations pour certaines figures historiques du partie et le manque de démocratie dans la gestion du partie, l’opacité qui entoure toutes les décisions, ont fait que personnellement après mûre réflexion, j’ai pensé qu’il était temps aujourd’hui de laisser des mains beaucoup plus expertes que les miennes…», dit-il.
Mais, poursuit-il sur Zik fm, «dans le contexte du Sénégal où on a plus de 270 partis sur une population de 14 millions d’habitants, créer un autre parti, c’est ajouter à la confusion, à l’irresponsabilité des hommes politiques».
«Les dernières investitures que nous venons de vivre l’ont montré très largement, que les démons du passé ont encore envahi le parti. Et, c’est en tirant les leçons de tout cela, le manque de démocratie, le manque de respect et de considérations pour certaines figures historiques du partie et le manque de démocratie dans la gestion du partie, l’opacité qui entoure toutes les décisions, ont fait que personnellement après mûre réflexion, j’ai pensé qu’il était temps aujourd’hui de laisser des mains beaucoup plus expertes que les miennes…», dit-il.
Mais, poursuit-il sur Zik fm, «dans le contexte du Sénégal où on a plus de 270 partis sur une population de 14 millions d’habitants, créer un autre parti, c’est ajouter à la confusion, à l’irresponsabilité des hommes politiques».