Le journaliste Pape Alé Niang a été libéré ce 10 janvier 2023 après une incarcération en deux étapes qui a débuté le 6 novembre 2022. Il vient ainsi de bénéficier d’une liberté provisoire, assortie d'un contrôle judiciaire par les autorités judiciaires sénégalaises, a appris PressAfrik auprès de la Coordination des associations de presse (Cap).
La Coordination des Associations de Presse (CAP) salue le travail et le professionnalisme du pool des avocats de Pape Alé Niang, particulièrement son coordonnateur, Me Moussa Sarr pour le sens du sacrifice, la détermination, la disponibilité totale dont ils ont fait preuve depuis le début de cette affaire.
La CAP adresse ses vifs remerciements à tous les journalistes, techniciens et acteurs des médias sénégalais, jeunes et anciens, qui n’ont ménagé aucun effort. Malgré un contexte très difficile, ils se sont mobilisés, se sont fortement engagés dans l’affaire Pape Alé Niang pour la défense et le respect des nobles principes de la liberté de la presse et d’expression, socles de notre métier.
Mention spéciale à Reporters Sans Frontières (RSF), à la Fondation des Médias pour l’Afrique de l’Ouest (MFWA), pour leur engagement – au plan national et international – et leur soutien financier pour que notre confrère recouvre sa liberté de mouvement. Tout comme Amnesty Senegal qui a abattu un travail de titan aussi à l’instar des autres organisations.
"Nos remerciements vont aussi au CPJ (Comité pour la Protection des Journalistes), à la CENOZO (Cellule Norbert Zongo pour le journalisme d’investigation en Afrique de l’Ouest), la Coalition Sénégalaise des Défenseurs des Droits Humains (COSEDDH) dont Amnesty International Sénégal, la RADDHO, la Ligue Sénégalaise de défense des Droits Humains, Afrikajom Center, pour leur contribution efficace à l’élargissement de notre confrère. Sans oublier les consœurs et confrères de la presse internationale", a dit la Cap. Sans oublier toutes les éminentes personnalités sénégalaises comme étrangères, politiques, religieuses et autres membres de la société civile, ainsi que de simples citoyens.
Cependant, cette « victoire » arrachée de haute lutte par la Coordination des Associations de Presse, avec le soutien de ses partenaires, ne saurait être la fin de l’histoire concernant le dossier Pape Alé Niang. Désormais, l’heure est à la seconde phase du combat : l’annulation des charges fantaisistes et politiques qui lui ont valu plus de 60 jours de captivité.
La Coordination des Associations de Presse (CAP) salue le travail et le professionnalisme du pool des avocats de Pape Alé Niang, particulièrement son coordonnateur, Me Moussa Sarr pour le sens du sacrifice, la détermination, la disponibilité totale dont ils ont fait preuve depuis le début de cette affaire.
La CAP adresse ses vifs remerciements à tous les journalistes, techniciens et acteurs des médias sénégalais, jeunes et anciens, qui n’ont ménagé aucun effort. Malgré un contexte très difficile, ils se sont mobilisés, se sont fortement engagés dans l’affaire Pape Alé Niang pour la défense et le respect des nobles principes de la liberté de la presse et d’expression, socles de notre métier.
Mention spéciale à Reporters Sans Frontières (RSF), à la Fondation des Médias pour l’Afrique de l’Ouest (MFWA), pour leur engagement – au plan national et international – et leur soutien financier pour que notre confrère recouvre sa liberté de mouvement. Tout comme Amnesty Senegal qui a abattu un travail de titan aussi à l’instar des autres organisations.
"Nos remerciements vont aussi au CPJ (Comité pour la Protection des Journalistes), à la CENOZO (Cellule Norbert Zongo pour le journalisme d’investigation en Afrique de l’Ouest), la Coalition Sénégalaise des Défenseurs des Droits Humains (COSEDDH) dont Amnesty International Sénégal, la RADDHO, la Ligue Sénégalaise de défense des Droits Humains, Afrikajom Center, pour leur contribution efficace à l’élargissement de notre confrère. Sans oublier les consœurs et confrères de la presse internationale", a dit la Cap. Sans oublier toutes les éminentes personnalités sénégalaises comme étrangères, politiques, religieuses et autres membres de la société civile, ainsi que de simples citoyens.
Cependant, cette « victoire » arrachée de haute lutte par la Coordination des Associations de Presse, avec le soutien de ses partenaires, ne saurait être la fin de l’histoire concernant le dossier Pape Alé Niang. Désormais, l’heure est à la seconde phase du combat : l’annulation des charges fantaisistes et politiques qui lui ont valu plus de 60 jours de captivité.