« Je ne suis plus preneur. Le Pds aujourd’hui n’est plus attractif et on le constate même pendant la campagne électorale. A Goudomp, ils étaient à côté et ne faisaient pas quinze personnes. C’est le cas lorsque nous étions à Kolda. Nous avons organisé des meetings dans ces deux localités et qui ont drainé beaucoup de monde. Ce n’est pas le cas pour le Pds qui n’est plus attractif », informe Pape Diop.
En ce qui concerne l’existence d’un pourparler entre lui (Pape Diop) et Me Wade, il balaie d’un coup de main toutes les allégations. « Pas du tout. Je m’inscris en faux contre ces allégations. Il n’y a pas de pourparlers. Il y a des personnes qui essaient de se rapprocher de moi, je ne sais pas exactement ce qu’elles veulent. Je crois savoir que c’est de cela qu’il s’agit, mais il n’y a pas encore de pourparlers. S’il devrait y avoir de pourparlers, je ne sais pas sous quel angle ils se dérouleront, parce que le climat a été vicié par certaines déclarations, de telle sorte que je crois que pour nous ce problème est derrière nous ».
« Je pense plutôt que si Bokk Guis Guis arrive devant, les autres frères et sœurs du Pds vont venir nous appuyer dans notre coalition. Mais pour que nous retournions au Pds, ce n’est pas à l’ordre du jour », indique le président du Sénat.
En ce qui concerne l’existence d’un pourparler entre lui (Pape Diop) et Me Wade, il balaie d’un coup de main toutes les allégations. « Pas du tout. Je m’inscris en faux contre ces allégations. Il n’y a pas de pourparlers. Il y a des personnes qui essaient de se rapprocher de moi, je ne sais pas exactement ce qu’elles veulent. Je crois savoir que c’est de cela qu’il s’agit, mais il n’y a pas encore de pourparlers. S’il devrait y avoir de pourparlers, je ne sais pas sous quel angle ils se dérouleront, parce que le climat a été vicié par certaines déclarations, de telle sorte que je crois que pour nous ce problème est derrière nous ».
« Je pense plutôt que si Bokk Guis Guis arrive devant, les autres frères et sœurs du Pds vont venir nous appuyer dans notre coalition. Mais pour que nous retournions au Pds, ce n’est pas à l’ordre du jour », indique le président du Sénat.