Le Président du Sénat a invité les parlementaires à engager le débat au sein de leurs assemblées et dans leurs partis pour amener leurs partisans à faire de la corruption une priorité dans le programme fondamental de leurs partis.
Selon l’ancien président de l’Assemblée nationale qui présidait, hier, l’ouverture de l’assemblée générale annuelle des parlementaires africains contre la corruption (APNAC), «l’argent est de plus en plus présent dans le champ politique et dans l’action quotidienne des hommes politiques et de leurs partis respectifs.
C’est pourquoi, il a exhorté les parlementaires à contribuer, par des initiatives, à la rationalisation du système politique par « la réglementation du financement des partis politiques».
Il a affirmé que l’argent est de plus en plus présent dans le champ politique et dans l’action quotidienne des hommes politiques et de leurs partis respectifs.
«Quelquefois, nous constatons que l’argent coule à flots», a-t-il indiqué. C’est la raison pour laquelle ce phénomène-là doit être dans le champ d’action des parlementaires », a recommandé Pape Diop. Selon lui, ces financements «échappent, aujourd’hui, au contrôle des autorités étatiques dans la plupart de nos Etats et peuvent, souvent, être des niches de corruption très importantes».
Selon l’ancien président de l’Assemblée nationale qui présidait, hier, l’ouverture de l’assemblée générale annuelle des parlementaires africains contre la corruption (APNAC), «l’argent est de plus en plus présent dans le champ politique et dans l’action quotidienne des hommes politiques et de leurs partis respectifs.
C’est pourquoi, il a exhorté les parlementaires à contribuer, par des initiatives, à la rationalisation du système politique par « la réglementation du financement des partis politiques».
Il a affirmé que l’argent est de plus en plus présent dans le champ politique et dans l’action quotidienne des hommes politiques et de leurs partis respectifs.
«Quelquefois, nous constatons que l’argent coule à flots», a-t-il indiqué. C’est la raison pour laquelle ce phénomène-là doit être dans le champ d’action des parlementaires », a recommandé Pape Diop. Selon lui, ces financements «échappent, aujourd’hui, au contrôle des autorités étatiques dans la plupart de nos Etats et peuvent, souvent, être des niches de corruption très importantes».
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