« Je viens vers vous pour partager, faire un échange et non un cours magistrat. Je suis parti à Paris à l’âge de 17 ans et demi. Donc j’ai fait beaucoup de boulot. J’ai eu la nationalité française très tôt. Mon père m’a envoyé en France parce que pour lui, je déraillais un peu pendant ma jeunesse », laisse entendre l’ex-patron de l’Olympique de Marseille.
Sur le coup les questions sont venues d’un peu partout. Et sur l’équipe nationale dirigée par Amara Traoré, l’ex-président de l’Olympique de Marseille affirme qu’on peut espérer. « C’est le pronostic du cœur et dans ce sens je crois que l’équipe du Sénégal est prête pour la Coupe d’Afrique des Nations (Can). Et dans un pronostic professionnel, je garde des réserves. Je pense que Amara répond à l’attente, je l’ai connu en tant agent de joueur. Je crois que le Sénégal à son mot à dire dans cette compétition continentale ».
Sur la liste des 23 joueurs, il est d’accord que l’entraîneur ait le privilège de choix quelques éléments aditifs pour le reste de la liste après avoir choisir à l’unanimité le noms des joueurs qui sont revenus plus fois dans le choix du staff. Pour lui, l’entraîneur est le plus soucieux de l’avenir de l’équipe.
Dans le cadre de la professionnalisation du championnat sénégalais, « je ne suis pas prêt à m’impliquer pour des raisons les plus simples, (Je veux m’accorder un peu de temps de repos). Et parler du professionnalisme dans le football ici, c’est pour moi illusoire. Quand on sait que certains clubs qui ont des moyens ont d’ores et déjà les problèmes de joindre les deux bouts et de payer régulièrement les joueurs. Au lieu de professionnalisation, parlons d’organisation d’une manière spécifique chez nous.
En ce qui concerne l’actualité sportive, surtout la nomination du Ballon d’or 2011. Il souligne que les joueurs africains ont encore du noir à croquer. Pour lui, « depuis Georges Weah, quel est le joueur africain qui mériterait plus que le Ballon d’or que Messi ! Moi je n’en vois pas. Eto’o et Drobga sont bon, mais ne sont pas plus que Messi. Et pour mon pronostic, je dirai que Messi encore le mérite ».
Sur son parcours à Marseille, l’ex-président de l’Olympique de Marseille fait une confidence. « J’avoue avoir passé à Marseille les moments les plus tourmentés de mon existence », avoue Pape Diouf.
Les absents notamment le Cameroun, l’Egypte, « sont des pays qui à un moment donné ont connu des épreuves d’élimination successive. Je pense que la Can va réunir des jeux de valeur. Parler de compétition sans qualité ni valeur, je crois que c’est injuste », soutient M. Diouf.
Sur la question du racisme dans le football, Pape Diouf qualifie de « Connerie humaine » dans le football. « Quant à moi, j’ai toujours fait face d’une autre manière à cette conduite raciste. Le racisme pur et dur dans mes fonctions, je ne l’ai pas connu en tant que tel. Quand j’étais à la tête de l’OM, je n’ai pas connu un racisme bien entendu que j’étais mal vu au cours de certaines rencontres », explique Pape de Marseille.
Sur le coup les questions sont venues d’un peu partout. Et sur l’équipe nationale dirigée par Amara Traoré, l’ex-président de l’Olympique de Marseille affirme qu’on peut espérer. « C’est le pronostic du cœur et dans ce sens je crois que l’équipe du Sénégal est prête pour la Coupe d’Afrique des Nations (Can). Et dans un pronostic professionnel, je garde des réserves. Je pense que Amara répond à l’attente, je l’ai connu en tant agent de joueur. Je crois que le Sénégal à son mot à dire dans cette compétition continentale ».
Sur la liste des 23 joueurs, il est d’accord que l’entraîneur ait le privilège de choix quelques éléments aditifs pour le reste de la liste après avoir choisir à l’unanimité le noms des joueurs qui sont revenus plus fois dans le choix du staff. Pour lui, l’entraîneur est le plus soucieux de l’avenir de l’équipe.
Dans le cadre de la professionnalisation du championnat sénégalais, « je ne suis pas prêt à m’impliquer pour des raisons les plus simples, (Je veux m’accorder un peu de temps de repos). Et parler du professionnalisme dans le football ici, c’est pour moi illusoire. Quand on sait que certains clubs qui ont des moyens ont d’ores et déjà les problèmes de joindre les deux bouts et de payer régulièrement les joueurs. Au lieu de professionnalisation, parlons d’organisation d’une manière spécifique chez nous.
En ce qui concerne l’actualité sportive, surtout la nomination du Ballon d’or 2011. Il souligne que les joueurs africains ont encore du noir à croquer. Pour lui, « depuis Georges Weah, quel est le joueur africain qui mériterait plus que le Ballon d’or que Messi ! Moi je n’en vois pas. Eto’o et Drobga sont bon, mais ne sont pas plus que Messi. Et pour mon pronostic, je dirai que Messi encore le mérite ».
Sur son parcours à Marseille, l’ex-président de l’Olympique de Marseille fait une confidence. « J’avoue avoir passé à Marseille les moments les plus tourmentés de mon existence », avoue Pape Diouf.
Les absents notamment le Cameroun, l’Egypte, « sont des pays qui à un moment donné ont connu des épreuves d’élimination successive. Je pense que la Can va réunir des jeux de valeur. Parler de compétition sans qualité ni valeur, je crois que c’est injuste », soutient M. Diouf.
Sur la question du racisme dans le football, Pape Diouf qualifie de « Connerie humaine » dans le football. « Quant à moi, j’ai toujours fait face d’une autre manière à cette conduite raciste. Le racisme pur et dur dans mes fonctions, je ne l’ai pas connu en tant que tel. Quand j’étais à la tête de l’OM, je n’ai pas connu un racisme bien entendu que j’étais mal vu au cours de certaines rencontres », explique Pape de Marseille.