Mamadou Seck a affirmé que vue l’évolution de nos sociétés « le genre ne peut plus primer sur la compétence ». Cependant il a demandé aux femmes de prouver leur compétence « la compétence, pour ne pas dire l’expertise, constitue un passage obligé pour la réussite de la parité. C’est de cette manière que l’on ne verra plus la parité comme un cadeau que les hommes accordent aux femmes mais un assaut victorieux que les femmes, par le savoir, le mérite et la compétence réussissent à lancer contre les forteresses professionnelles et les responsabilités dont certains hommes pensent pouvoir réserver indéfiniment l’exclusivité ».
Pour le chef de la première chambre, « la parité est un processus irréversible ». A travers cela les députés doivent comprendre la lourdeur de la tâche qui les attend devant ce nouveau projet de loi « la question est suffisamment importante pour exiger et obtenir de chacun la hauteur de vue et le sérieux qu’elle mérite ».
Selon M. Seck l’approbation de la loi est d’autant plus normale car « les femmes, qui constituent 52 % de la population, sont représentées dans des proportions encore faibles 23 % à l’Assemblée nationale, environ 10 % dans le Gouvernement, 12,97 % dans les conseils régionaux, 20,03 % dans les conseils municipaux et 27,32 % dans les collectivités rurales ».
Pour le chef de la première chambre, « la parité est un processus irréversible ». A travers cela les députés doivent comprendre la lourdeur de la tâche qui les attend devant ce nouveau projet de loi « la question est suffisamment importante pour exiger et obtenir de chacun la hauteur de vue et le sérieux qu’elle mérite ».
Selon M. Seck l’approbation de la loi est d’autant plus normale car « les femmes, qui constituent 52 % de la population, sont représentées dans des proportions encore faibles 23 % à l’Assemblée nationale, environ 10 % dans le Gouvernement, 12,97 % dans les conseils régionaux, 20,03 % dans les conseils municipaux et 27,32 % dans les collectivités rurales ».