« Nous sommes optimistes en attendant la décision et nous allons épuiser toutes les voies de droits possibles au Sénégal et à l’étranger. La justice sénégalaise doit désormais savoir qu’elle est sous les yeux des juristes à l’internationale », a déclaré l’ancien Premier ministre qui faisait face à la presse.
En réponse à Aminata Touré qui « s’alarmait des 87 candidats en lice, le président de l'Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act) a justifié ce nombre par « l’élément nouveau » qui est le parrainage. « Ce système qui a été inventé et que nous avons combattu est source de beaucoup de problèmes » a dit M. Mbaye.
En cela, il a dénoncé la confusion entre candidat à la candidature et candidat à la présidentielle avant de s’attaquer aux fiches de parrainage. « Une fiche format papier et d’une fiche ou d’une liste, on ne sait même plus ce que c’est. Malheureusement, (on note) l’absence d’éléments les plus rassurants en terme d’authentification qui est la signature au niveau de la fiche numérique ».
Pour les signatures sur les fiches de parrainage, l’ancien banquier est sûr de la difficulté liée au contrôle. « Il est impossible pour le Conseil constitutionnel de vérifier les signatures qui figureront sur le format papier des fiches », a-t-il indiqué.
En réponse à Aminata Touré qui « s’alarmait des 87 candidats en lice, le président de l'Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act) a justifié ce nombre par « l’élément nouveau » qui est le parrainage. « Ce système qui a été inventé et que nous avons combattu est source de beaucoup de problèmes » a dit M. Mbaye.
En cela, il a dénoncé la confusion entre candidat à la candidature et candidat à la présidentielle avant de s’attaquer aux fiches de parrainage. « Une fiche format papier et d’une fiche ou d’une liste, on ne sait même plus ce que c’est. Malheureusement, (on note) l’absence d’éléments les plus rassurants en terme d’authentification qui est la signature au niveau de la fiche numérique ».
Pour les signatures sur les fiches de parrainage, l’ancien banquier est sûr de la difficulté liée au contrôle. « Il est impossible pour le Conseil constitutionnel de vérifier les signatures qui figureront sur le format papier des fiches », a-t-il indiqué.