Le groupe des sept (7) observateurs de la société civile qui a assisté les sept (7) sages du Conseil constitutionnel lors de la vérification des signatures de parrainage a fait le point de sa mission ce lundi. Réunis autour d’un collège de facilitateurs, ces membres qui avaient, d’emblée, "rencontré tous les Organisateurs des Elections (OGE)", ont fait part des constats qu’ils ont pu soulever lors de cette séance.
Face à la presse ce lundi dans un hôtel de la place, Pr Babacar Guèye et ses camarades ont d’abord jugé que : «l’acte posé par le Conseil constitutionnel est inédit ( ouverture du contrôle à la société civile et en présence des candidats à la candidature), et doit donc être engagé».
Ensuite, ils informent que : «les opérations de dépôt, de contrôle, de traitement ainsi que de l’éditeur du procès-verbal ont été faites en présence du candidat ou de son mandataire et des observateurs de la société civile». Mieux, assurent-ils : «les opérations se sont déroulées conformément à la décision ( numéro 1/2018 du 23 novembre 2018 du Conseil constitutionnel définissant les modalités de contrôle et de vérification du parrainage».
A les en croire, le candidat ou son mandataire "a eu le droit", de poser des questions à chaque étape du processus et "des réponses lui ont été toujours données". Ils soulignent par ailleurs, que "dans la salle, tous les candidats ont eu le même traitement".
Rokhaya Gassama et Cie tiennent à préciser que "leur mission n'est pas encore terminée". "Nous avons considéré que pour être quitte avec notre conscience et avec la population, qu'il fallait tenir cette conférence de presse pour partager les informations déjà requises au Conseil constitutionnel".
Face à la presse ce lundi dans un hôtel de la place, Pr Babacar Guèye et ses camarades ont d’abord jugé que : «l’acte posé par le Conseil constitutionnel est inédit ( ouverture du contrôle à la société civile et en présence des candidats à la candidature), et doit donc être engagé».
Ensuite, ils informent que : «les opérations de dépôt, de contrôle, de traitement ainsi que de l’éditeur du procès-verbal ont été faites en présence du candidat ou de son mandataire et des observateurs de la société civile». Mieux, assurent-ils : «les opérations se sont déroulées conformément à la décision ( numéro 1/2018 du 23 novembre 2018 du Conseil constitutionnel définissant les modalités de contrôle et de vérification du parrainage».
A les en croire, le candidat ou son mandataire "a eu le droit", de poser des questions à chaque étape du processus et "des réponses lui ont été toujours données". Ils soulignent par ailleurs, que "dans la salle, tous les candidats ont eu le même traitement".
Rokhaya Gassama et Cie tiennent à préciser que "leur mission n'est pas encore terminée". "Nous avons considéré que pour être quitte avec notre conscience et avec la population, qu'il fallait tenir cette conférence de presse pour partager les informations déjà requises au Conseil constitutionnel".