« En effet, la pêche, au Sénégal, joue un rôle prédominant aux triples plans social, économique et biologique. Elle fournit près de 600 000 emplois directs et indirects représentant 17% de la population vive, produit par an 300 000 tonnes de protéine de haute qualité contribuant ainsi à la sécurité alimentaire des populations. En outre, le Sénégal abrite l’une des zones de pêche les plus importantes au monde sur le plan biologique : plus de 1000 espèces de poissons, 5 espèces de tortues marines, 26 espèces de cétacés, plusieurs centaines d’espèces d’oiseaux marins, etc. », renseigne un communiqué du service de communication de l’USAID.
Pour un développement durable de ces ressources et « faire face à la crise que traverse le secteur de la pêche au Sénégal, et promouvoir une gestion durable des ressources halieutiques pour les populations sénégalaises, le projet USAID/COMFISH en collaboration avec la Direction des Pêches maritimes préconise un modèle de gestion concertée pour une pêche durable ».
« Ce modèle repose sur trois niveaux essentiels : la mise en place d’unités de gestion durable (choix des stocks/espèces de poissons par les populations), l’amélioration de la gouvernance locale des pêcheries (zones de pêche), et le renforcement des capacités des institutions et des acteurs concernés ».
Enfin on peut lire dans le communiqué que « ce projet de 5 ans vise à appuyer les efforts du Gouvernement du Sénégal à réformer le secteur de la pêche (tel que mentionné dans la Lettre de politique sectorielle de la pêche et de l’aquaculture) en améliorant les conditions nécessaires à la bonne gouvernance, et en encourageant l’utilisation d’outils et d’approches efficaces de gestion ».
Pour un développement durable de ces ressources et « faire face à la crise que traverse le secteur de la pêche au Sénégal, et promouvoir une gestion durable des ressources halieutiques pour les populations sénégalaises, le projet USAID/COMFISH en collaboration avec la Direction des Pêches maritimes préconise un modèle de gestion concertée pour une pêche durable ».
« Ce modèle repose sur trois niveaux essentiels : la mise en place d’unités de gestion durable (choix des stocks/espèces de poissons par les populations), l’amélioration de la gouvernance locale des pêcheries (zones de pêche), et le renforcement des capacités des institutions et des acteurs concernés ».
Enfin on peut lire dans le communiqué que « ce projet de 5 ans vise à appuyer les efforts du Gouvernement du Sénégal à réformer le secteur de la pêche (tel que mentionné dans la Lettre de politique sectorielle de la pêche et de l’aquaculture) en améliorant les conditions nécessaires à la bonne gouvernance, et en encourageant l’utilisation d’outils et d’approches efficaces de gestion ».