Pape Alé Niang a désormais pris service à la Radiotélévision sénégalaise (RTS). Ayant pris part à la cérémonie de passation de service ce vendredi 10 mai, le nouveau Directeur général de la RTS a pesé « l’énorme responsabilité » qui l’attende à la tête du média public.
Conscient de cela, dit-il, il s’est exprimé : « Dans l’exercice de cette profession, nous avons eu la chance d’être employé et employeur. Ce que nous avons appris nous a été utile. Donc, avant de décider, il faudra écouter, laisser s’exprimer les sensibilités diverses, favoriser l’esprit de groupe et rester solidaire. Nous savons combien de compétences que la RTS compte. On n’a pas besoin de chercher à l’extérieur ».
Héritant d’un service « très mouvementé » ces derniers temps, Pape Alé Niang n’a pas tardé à rassurer ses collègues. « Comptez sur moi pour avoir la liberté d’exprimer tout votre talent. Ensemble, nous ouvrons une belle de collaboration. Rien n’est simple, l’essentiel est dans l’ambition », a-t-il affirmé, aisément.
Avant de poursuivre : « Pour quelqu’un qui fait du public sa raison d’être, travailler pour le service public de l’information est presque un dessein. Nous allons apporter notre modeste contribution à ce service à côté des médias privés. En effet, ce qu’ont les médias publics et privés en commun, c’est ce service public de l’information. Si nous comprenons ainsi les choses, nous ne tromperons jamais de cible ».
Insistant sur le modèle de service public de la RTS, PAN, comme on le surnomme, compte mettre en avant les « intérêts du public sénégalais vis-à-vis de la mission d’information de la RTS ».
Il confirme sans ambages : « Nous sommes responsables du redoutable service de rendre au public ce qu’il attend, ce qu’il espère, ce qui l’intéresse et ce qui est de son intérêt. Ce n’est pas toujours la même chose, avec la nuance. Nous comptons travailler dans l’intérêt du public, avec la charge professionnelle qui nous incombe tant sur le plan légal et réglementaire ».
Conscient de cela, dit-il, il s’est exprimé : « Dans l’exercice de cette profession, nous avons eu la chance d’être employé et employeur. Ce que nous avons appris nous a été utile. Donc, avant de décider, il faudra écouter, laisser s’exprimer les sensibilités diverses, favoriser l’esprit de groupe et rester solidaire. Nous savons combien de compétences que la RTS compte. On n’a pas besoin de chercher à l’extérieur ».
Héritant d’un service « très mouvementé » ces derniers temps, Pape Alé Niang n’a pas tardé à rassurer ses collègues. « Comptez sur moi pour avoir la liberté d’exprimer tout votre talent. Ensemble, nous ouvrons une belle de collaboration. Rien n’est simple, l’essentiel est dans l’ambition », a-t-il affirmé, aisément.
Avant de poursuivre : « Pour quelqu’un qui fait du public sa raison d’être, travailler pour le service public de l’information est presque un dessein. Nous allons apporter notre modeste contribution à ce service à côté des médias privés. En effet, ce qu’ont les médias publics et privés en commun, c’est ce service public de l’information. Si nous comprenons ainsi les choses, nous ne tromperons jamais de cible ».
Insistant sur le modèle de service public de la RTS, PAN, comme on le surnomme, compte mettre en avant les « intérêts du public sénégalais vis-à-vis de la mission d’information de la RTS ».
Il confirme sans ambages : « Nous sommes responsables du redoutable service de rendre au public ce qu’il attend, ce qu’il espère, ce qui l’intéresse et ce qui est de son intérêt. Ce n’est pas toujours la même chose, avec la nuance. Nous comptons travailler dans l’intérêt du public, avec la charge professionnelle qui nous incombe tant sur le plan légal et réglementaire ».
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