Les passations de services entre les membres du gouvernement sortant et ceux du nouveau gouvernement se poursuivent. Ce jeudi 11 avril, l’ex ministre de l’Economie du Plan et de la coopérative, Moustapha Ba a passé le témoin à son successeur, le ministre Abdourahmane Sarr.
Prenant la parole, l’actuel ministre de l’Economie, s’est voulu rassurant concernant la gestion de ce ministère qu’il vient d’hériter. « Je vous rassure que ce ministère n’est pas en phase de devenir une propriété familiale », a indiqué ironiquement Abdourahmane Sarr à son prédécesseur.
Pour le ministre de l’économie, succéder à Moustapha Ba à ce poste, c ’est « une opportunité pour lui de participer à ce projet qui a pour ambition de réaliser la souveraineté économique du Sénégal. Cette souveraineté économique, selon lui, sera le moyen pour le Sénégal d’« atteindre l’objectif de maîtriser notre destin ».
Revenant sur les réalisations de l’ancien régime notamment les infrastructures entre autres, Il a soutenu que « Ces réalisations qui sont des acquis serviront de « base vers un nouveau cap ». Mais, toujours sur ces réalisations, il a soulevé la question de la dette acquise pour pouvoir les réaliser. « Il nous a fallu néanmoins accélérer notre endettement en devise pour les réaliser, ainsi que pour faire face à des chocs extérieurs. Cet endettement a dans une certaine mesure réduit notre souveraineté économique », a -t-il souligné.
Prenant la parole, l’actuel ministre de l’Economie, s’est voulu rassurant concernant la gestion de ce ministère qu’il vient d’hériter. « Je vous rassure que ce ministère n’est pas en phase de devenir une propriété familiale », a indiqué ironiquement Abdourahmane Sarr à son prédécesseur.
Pour le ministre de l’économie, succéder à Moustapha Ba à ce poste, c ’est « une opportunité pour lui de participer à ce projet qui a pour ambition de réaliser la souveraineté économique du Sénégal. Cette souveraineté économique, selon lui, sera le moyen pour le Sénégal d’« atteindre l’objectif de maîtriser notre destin ».
Revenant sur les réalisations de l’ancien régime notamment les infrastructures entre autres, Il a soutenu que « Ces réalisations qui sont des acquis serviront de « base vers un nouveau cap ». Mais, toujours sur ces réalisations, il a soulevé la question de la dette acquise pour pouvoir les réaliser. « Il nous a fallu néanmoins accélérer notre endettement en devise pour les réaliser, ainsi que pour faire face à des chocs extérieurs. Cet endettement a dans une certaine mesure réduit notre souveraineté économique », a -t-il souligné.
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