Lorsque Yoweri Museveni prend la parole devant des parlementaires est-africains pour dire son amour de Trump, mardi à Kampala, l’assistance commence par rigoler. Mais les députés ont tort de rire.
Le président Museveni explique qu’il aime vraiment son homologue américain, qu’il décrit comme un des meilleurs présidents de toute l’histoire des Etats-Unis. Yoweri Museveni apprécie surtout, dit-il, sa franchise. Quant aux problèmes de l’Afrique, ajoute le président ougandais, il appartient aux Africains de les régler.
Curieusement, l’ambassadrice des Etats-Unis à Kampala tentait au même moment d’atténuer la portée des remarques de Donald Trump. Deborah Malac les a qualifiées d’«assez dérangeantes et affligeantes»-, lors d’une réunion avec la présidente du Parlement ougandais, dont la presse locale s’est fait l’écho.
Ce n’est pas la première fois que Yoweri Museveni défend Donald Trump. Début janvier, le président ougandais soulignait que les dirigeants africains devaient s’inspirer de son exemple, lorsque Donald Trump parle de restaurer sa grandeur aux Etats-Unis.
Le président Museveni explique qu’il aime vraiment son homologue américain, qu’il décrit comme un des meilleurs présidents de toute l’histoire des Etats-Unis. Yoweri Museveni apprécie surtout, dit-il, sa franchise. Quant aux problèmes de l’Afrique, ajoute le président ougandais, il appartient aux Africains de les régler.
Curieusement, l’ambassadrice des Etats-Unis à Kampala tentait au même moment d’atténuer la portée des remarques de Donald Trump. Deborah Malac les a qualifiées d’«assez dérangeantes et affligeantes»-, lors d’une réunion avec la présidente du Parlement ougandais, dont la presse locale s’est fait l’écho.
Ce n’est pas la première fois que Yoweri Museveni défend Donald Trump. Début janvier, le président ougandais soulignait que les dirigeants africains devaient s’inspirer de son exemple, lorsque Donald Trump parle de restaurer sa grandeur aux Etats-Unis.