L'information a été donnée hier, par Mor Ngom, ministre des Infrastructures et des Transports. C'était au Cices, à l'occasion de l'ouverture officielle du bureau du pèlerinage à La Mecque.
200.000 F.Cfa seront augmentés sur le prix du ticket de voyage par la compagnie Sénégal Airlines des pèlerins qui veulent voyager en classe affaires sur les lieux saints de l’Islam. C’est du moins ce qu’a annoncé hier, jeudi, Mor Ngom, ministre des Infrastructures et des Transports, au Cices, à l’occasion de l'ouverture officielle du bureau du pèlerinage à La Mecque. Pour cette année, «Sénégal Airlines a prévu quelque chose d’exceptionnelle, c’est-à-dire une classe affaires», informe le ministre des Transports qui prenait part à l’ouverture officielle du bureau du pèlerinage. Si on devrait la calculer, «cette classe pourrait faire trois à quatre fois le billet, mais la Compagnie demande exceptionnellement 200.000 francs F.Cfa», renchérit Mor Ngom.
Le ministre explique que ces 200.000 F.Cfa vont permettre de mettre à la disposition des passagers qui l’acceptent «une meilleure qualité en termes de service et de traitement». Il rappelle ainsi que cette classe exceptionnelle s’inscrit dans le contexte de réduction du prix du package global. Le ministre d’ajouter que l’Etat a pris toutes les dispositions pour encadrer les vols de Sénégal Airlines, compagnie qui détient l’exclusivité du convoyage des pèlerins du commissariat général aux lieux saints de l’Islam. «Non seulement toutes les dispositions sont prises, mais aussi nous avons donné un certain nombre de directives à la compagnie pour que rien ne soit négligé pour en arriver à zéro faute. Ce qui est tout a fait difficile», a souligné le ministre des Infrastructures et des Transports.
Par ailleurs, le commissaire général au pèlerinage, El Hadji Mansour Diop a déclaré que «7.200 futurs pèlerins ont été enregistrés par la mission officielle du Hadji et dont 2.300 ont passé la visite, deux semaines après l’ouverture du bureau du pèlerinage aux lieux saints de l'islam». Il souhaite que le rythme des enregistrements arrive à 10.500 pèlerins du quota sénégalais avant le départ du premier vol. « Si nous regroupons l’ensemble des centres de consultation pour la visite médicale, nous avons enregistré entre 2.200 à 2.300 visites deux semaines après le démarrage des opérations», a indiqué commissaire général au pèlerinage. Avant d’ajouter que rien qu’au Cices qui abrite le principal bureau, «nous avons enregistré 1.620 pèlerins déjà consultés. Si l’on y ajoute les bureaux du centre-ville et l’aéroport, on atteindra les 2.300 consultés».
Il a par ailleurs annoncé que le premier vol aller est prévu le 2 octobre prochain, tandis que les vols retour débutent le 31 du même mois. Il envisage en tout 10 vols en raison de 300 passagers par vol, en moyenne.
Enfin, si l’on en croit Alioune Badara Cissé, le ministre des Affaires étrangère, «El Hadji Mansour Diop, le meilleur homme à ce poste, est conscient des défis qui l’attendent»
200.000 F.Cfa seront augmentés sur le prix du ticket de voyage par la compagnie Sénégal Airlines des pèlerins qui veulent voyager en classe affaires sur les lieux saints de l’Islam. C’est du moins ce qu’a annoncé hier, jeudi, Mor Ngom, ministre des Infrastructures et des Transports, au Cices, à l’occasion de l'ouverture officielle du bureau du pèlerinage à La Mecque. Pour cette année, «Sénégal Airlines a prévu quelque chose d’exceptionnelle, c’est-à-dire une classe affaires», informe le ministre des Transports qui prenait part à l’ouverture officielle du bureau du pèlerinage. Si on devrait la calculer, «cette classe pourrait faire trois à quatre fois le billet, mais la Compagnie demande exceptionnellement 200.000 francs F.Cfa», renchérit Mor Ngom.
Le ministre explique que ces 200.000 F.Cfa vont permettre de mettre à la disposition des passagers qui l’acceptent «une meilleure qualité en termes de service et de traitement». Il rappelle ainsi que cette classe exceptionnelle s’inscrit dans le contexte de réduction du prix du package global. Le ministre d’ajouter que l’Etat a pris toutes les dispositions pour encadrer les vols de Sénégal Airlines, compagnie qui détient l’exclusivité du convoyage des pèlerins du commissariat général aux lieux saints de l’Islam. «Non seulement toutes les dispositions sont prises, mais aussi nous avons donné un certain nombre de directives à la compagnie pour que rien ne soit négligé pour en arriver à zéro faute. Ce qui est tout a fait difficile», a souligné le ministre des Infrastructures et des Transports.
Par ailleurs, le commissaire général au pèlerinage, El Hadji Mansour Diop a déclaré que «7.200 futurs pèlerins ont été enregistrés par la mission officielle du Hadji et dont 2.300 ont passé la visite, deux semaines après l’ouverture du bureau du pèlerinage aux lieux saints de l'islam». Il souhaite que le rythme des enregistrements arrive à 10.500 pèlerins du quota sénégalais avant le départ du premier vol. « Si nous regroupons l’ensemble des centres de consultation pour la visite médicale, nous avons enregistré entre 2.200 à 2.300 visites deux semaines après le démarrage des opérations», a indiqué commissaire général au pèlerinage. Avant d’ajouter que rien qu’au Cices qui abrite le principal bureau, «nous avons enregistré 1.620 pèlerins déjà consultés. Si l’on y ajoute les bureaux du centre-ville et l’aéroport, on atteindra les 2.300 consultés».
Il a par ailleurs annoncé que le premier vol aller est prévu le 2 octobre prochain, tandis que les vols retour débutent le 31 du même mois. Il envisage en tout 10 vols en raison de 300 passagers par vol, en moyenne.
Enfin, si l’on en croit Alioune Badara Cissé, le ministre des Affaires étrangère, «El Hadji Mansour Diop, le meilleur homme à ce poste, est conscient des défis qui l’attendent»
Autres articles
-
Coût de la vie et surplus pétrolier : la Banque mondiale dévoile ses prévisions jusqu'en 2026
-
Sécheresse : les femmes produisent 80 % de l’alimentation dans les pays en développement mais possèdent moins de 20 % des terres (ONU)
-
Déficit budgétaire du Sénégal : les stratégies du gouvernement pour remonter la pente, selon Abdourahmane Sarr
-
Croissance du secteur bancaire et de la microfinance : une progression de 8,8% saluée par le ministère des Finances
-
Pêche illicite au Sénégal : une perte estimée à 150 milliards FCfa chaque année