Le Ministre d’Etat, Ministre des affaires étrangères, Me Madické Niang veut assainir le milieu des voyagistes qui ont en charge l’organisation du pèlerinage aux lieux saints de l’Islam et qui distribuent les agréments ainsi que les quotas. Il a estimé qu’il «faut un ensemble de conditions. On ne peut plus rester dans nos bureaux, se réveiller et accorder des quotas et des agréments. Le ministre a annoncé plusieurs innovations dont celle qui concerne la procédure d’agréments. «Une procédure d’agrément qui se fait sur la base de conditions très précises» a-t-il ajouté.
Il a fait comprendre qu’ «il faut des bureaux, du personnel, un équipement adéquat. Une visite est organisée et cette visite va pouvoir impliquer tous les secteurs de l’administration qui sont concernés. Le tourisme, nous même et d’autres démembrements de l’administration». Pour lui, au-delà de l’existence, ce ne sont plus des gens qui, à partir d’une cabine de télécentre ou à partir d’un domicile, vont organiser le pèlerinage. Il faut avoir des structures adéquates pour accueillir les candidats au pèlerinage, avoir les moyens techniques de pouvoir s’acquitter des différentes tâches qui sont dévolues aux uns et aux autres. C’est à la suite de cela que l’agrément est accordé.
Concernant la phase d’allocation de quotas, Me Madické Niang d’indiquer: «cette année nous avons innové, nous avons eu à travailler avec le commissaire général et toute son équipe pour pouvoir répartir les quotas». «Nous ne nous sommes pas contentés de les répartir à partir de nos bureaux» a-t-il révélé avant d’ajouter «nous avons même impliqué l’organisation des voyagistes privés pour qu’on comprenne que nous recherchons la transparence et nous faisons tout pour que cela se passe dans des conditions de transparence qui mettent seulement en exergue l’intérêt général».
Il a fait comprendre qu’ «il faut des bureaux, du personnel, un équipement adéquat. Une visite est organisée et cette visite va pouvoir impliquer tous les secteurs de l’administration qui sont concernés. Le tourisme, nous même et d’autres démembrements de l’administration». Pour lui, au-delà de l’existence, ce ne sont plus des gens qui, à partir d’une cabine de télécentre ou à partir d’un domicile, vont organiser le pèlerinage. Il faut avoir des structures adéquates pour accueillir les candidats au pèlerinage, avoir les moyens techniques de pouvoir s’acquitter des différentes tâches qui sont dévolues aux uns et aux autres. C’est à la suite de cela que l’agrément est accordé.
Concernant la phase d’allocation de quotas, Me Madické Niang d’indiquer: «cette année nous avons innové, nous avons eu à travailler avec le commissaire général et toute son équipe pour pouvoir répartir les quotas». «Nous ne nous sommes pas contentés de les répartir à partir de nos bureaux» a-t-il révélé avant d’ajouter «nous avons même impliqué l’organisation des voyagistes privés pour qu’on comprenne que nous recherchons la transparence et nous faisons tout pour que cela se passe dans des conditions de transparence qui mettent seulement en exergue l’intérêt général».