C’est aux environs de 16 heures qu’une première vague d’une quarantaine de marcheurs, partis dimanche matin de Mbour, est entrée à Popenguine. Elle sera suivie une heure et demie plus tard par une autre de quelque 3000 fidèles partis de Dakar.
Composés en grande majorité de jeunes, les marcheurs ont rallié la ville religieuse avec des chants et des danses malgré la fatigue qui se lit sur leurs visages. ‘’J’avoue que je suis soulagée. C’est la première fois que je viens à Popenguine en marchant. Ça été très difficile, nous sommes partis de Thiès à 6 heure’’ du matin, a confié Thérèse Ndione.
La voix cassée de l’adolescente d’une quinzaine d’années renseigne sur la dure épreuve qu’elle vient de subir. Casquette bien vissée sur la tête, la fille aux habits décolorés par la poussière croit ‘‘avoir déjà accompli le pèlerinage de sa vie’’.
‘’Le fait de marcher renforce ma foi. C’est la dixième fois que je le fais. C’est devenu une habitude de sorte que je ne croirai pas avoir fait un bon pèlerinage si je venais à pied’’, fait valoir Edouard Kassel Tendeng marcheur originaire de Saint-Louis.
‘’C’est un choix. On aurait pu prendre le véhicule comme tout le monde. Mais nous les catholiques, nous vivons et mourrons pour le Christ qui s’est sacrifié pour nous. Marcher sur une longue distance pour rendre hommage à la vierge Marie n’est qu’une démarche de foi montrant notre attachement et notre foi’’, soutient pour sa part Maricelle Diédhiou.
Maricelle arbore un t-shirt à l’effigie du christ sur lequel est inscrit le thème du pèlerinage : ‘’Avec et comme Marie, accueillons le Christ parole de vie et d’espérance’’.
‘’Ça été difficile mais nous ne l’avons pas beaucoup senti. La marche a été ponctuée d’arrêts et d’animations qui ont maintenu l’enthousiasme jusqu’à Popenguine’’, renseigne Maricelle, une des ‘’marcheurs’’ de Dakar qui ont fait une entrée remarquée, par leur nombre plus élevé et les chants et danses qui rythmait leur cortège.
2009 marque la 121ème édition du pèlerinage marial de Popenguine, mais la marche pour rallier la ville en est à sa 29ème. Elle a été effectuée pour la première fois en 1980 par Pierre Faye, un colonel de l’armée sénégalaise aujourd’hui décédé.
La marche est ponctuée d’arrêts pour permettre aux pèlerins de se reposer, manger, boire et reprendre des forces. Elle est encadrée par des forces de l’ordre, des agents des sapeurs-pompiers et des scoots et volontaires qui se chargent de porter les bagages des marcheurs, selon le commissaire général des scoots du sénégal Philipe Edouard Diouf.
Source: APS
Composés en grande majorité de jeunes, les marcheurs ont rallié la ville religieuse avec des chants et des danses malgré la fatigue qui se lit sur leurs visages. ‘’J’avoue que je suis soulagée. C’est la première fois que je viens à Popenguine en marchant. Ça été très difficile, nous sommes partis de Thiès à 6 heure’’ du matin, a confié Thérèse Ndione.
La voix cassée de l’adolescente d’une quinzaine d’années renseigne sur la dure épreuve qu’elle vient de subir. Casquette bien vissée sur la tête, la fille aux habits décolorés par la poussière croit ‘‘avoir déjà accompli le pèlerinage de sa vie’’.
‘’Le fait de marcher renforce ma foi. C’est la dixième fois que je le fais. C’est devenu une habitude de sorte que je ne croirai pas avoir fait un bon pèlerinage si je venais à pied’’, fait valoir Edouard Kassel Tendeng marcheur originaire de Saint-Louis.
‘’C’est un choix. On aurait pu prendre le véhicule comme tout le monde. Mais nous les catholiques, nous vivons et mourrons pour le Christ qui s’est sacrifié pour nous. Marcher sur une longue distance pour rendre hommage à la vierge Marie n’est qu’une démarche de foi montrant notre attachement et notre foi’’, soutient pour sa part Maricelle Diédhiou.
Maricelle arbore un t-shirt à l’effigie du christ sur lequel est inscrit le thème du pèlerinage : ‘’Avec et comme Marie, accueillons le Christ parole de vie et d’espérance’’.
‘’Ça été difficile mais nous ne l’avons pas beaucoup senti. La marche a été ponctuée d’arrêts et d’animations qui ont maintenu l’enthousiasme jusqu’à Popenguine’’, renseigne Maricelle, une des ‘’marcheurs’’ de Dakar qui ont fait une entrée remarquée, par leur nombre plus élevé et les chants et danses qui rythmait leur cortège.
2009 marque la 121ème édition du pèlerinage marial de Popenguine, mais la marche pour rallier la ville en est à sa 29ème. Elle a été effectuée pour la première fois en 1980 par Pierre Faye, un colonel de l’armée sénégalaise aujourd’hui décédé.
La marche est ponctuée d’arrêts pour permettre aux pèlerins de se reposer, manger, boire et reprendre des forces. Elle est encadrée par des forces de l’ordre, des agents des sapeurs-pompiers et des scoots et volontaires qui se chargent de porter les bagages des marcheurs, selon le commissaire général des scoots du sénégal Philipe Edouard Diouf.
Source: APS