Le manque de pain du fait de la grève des boulangers observée depuis hier, lundi, na pas fait l’affaire des responsables de quelques gargotes. La preuve dans la bouche d’Astou Diassey, rencontrée aux Parcelles Assainies Unité 3. Elle vend du petit déjeuner. « Mon souhait c’est la fin de la grève. Car cela ne fait pas mon affaire. D’habitude je vendais tout ce que je préparais, mais aujourd’hui, il en reste encore. Car beaucoup de mes clients ne sont pas venus ». Astou Diassey a pris les devants pour éviter une perte. « J’étais au courant de la nouvelle la veille, ainsi j’ai préparé peu de ‘’Ndambé ‘’ (sauce à base de niébé), du thon et de la sauce d’haricots pour les clients qui ont acheté du pain la veille ». Devant cette situation de pénurie, Astou comme beaucoup de sénégalais, cherche la parade. Voilà pourquoi Astou Diassey dit être obligée de faire du ‘’fataya’’ et des beignets à la demande de certains de ses clients.
Autre coin, même complainte. A la cité Fadja, Assi Diop, vendeuse, prés du lycée Fadja, explique que ses affaires ont subi les effets de la grève. « Nos ventes n’ont pas marché comme il le faut. Aujourd’hui, je suis allée partout pour chercher du pain. J’ai trouvé que du pain ‘’fanane’’ (les restes de pain de la veille)».
Plus heureuse qu’Astou et Assi, mère Yoba Diop, une autre gargotière au croisement 22 des Parcelles Assainies Unité 14, n’a pas senti la grève. « Moi j’ai trouvé du pain hier et aujourd’hui à la boulangerie pâtisserie la BRIOCHE DOREE, prés du rond point « case ba »des Parcelles Assainies. Je n’ai pas senti la grève. J’ai vendu comme d’habitude ».
Le souhait de toutes ces vendeuses reste tout de même, la fin des perturbations dans la production du pain. Elles pensent que les boulangers vont trouver des solutions à leurs revendications c’est-à-dire la baisse du prix de la farine et du gaz oil. Pour le grand bonheur de tous les consommateurs et la bonne marche de leur petit commerce.
Autre coin, même complainte. A la cité Fadja, Assi Diop, vendeuse, prés du lycée Fadja, explique que ses affaires ont subi les effets de la grève. « Nos ventes n’ont pas marché comme il le faut. Aujourd’hui, je suis allée partout pour chercher du pain. J’ai trouvé que du pain ‘’fanane’’ (les restes de pain de la veille)».
Plus heureuse qu’Astou et Assi, mère Yoba Diop, une autre gargotière au croisement 22 des Parcelles Assainies Unité 14, n’a pas senti la grève. « Moi j’ai trouvé du pain hier et aujourd’hui à la boulangerie pâtisserie la BRIOCHE DOREE, prés du rond point « case ba »des Parcelles Assainies. Je n’ai pas senti la grève. J’ai vendu comme d’habitude ».
Le souhait de toutes ces vendeuses reste tout de même, la fin des perturbations dans la production du pain. Elles pensent que les boulangers vont trouver des solutions à leurs revendications c’est-à-dire la baisse du prix de la farine et du gaz oil. Pour le grand bonheur de tous les consommateurs et la bonne marche de leur petit commerce.
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