Pour les étudiants qui en pâtissent le plus, « la responsabilité est partagée », tranchent-ils. « Pour moi la responsabilité, elle est partagée. C’est une faute de l’Etat qui est au cœur de la décision. Vous savez que c’est l’Etat qui organise tout. D’autre part aussi c’est une faute des enseignants, même si on a des causes à défendre… », a lâché un étudiant au micro de la RFM.
Face à cette situation qui perdure, il sera difficile de procéder aux deux examens annuels, à savoir la session de juillet et celle d’octobre. « Les résultats n’ont commencé à sortir qu’à la fin du mois de novembre et décembre. Cette année encore, avec cette grève-là, il y a un risque même de pouvoir faire les deux sessions d’examen. Véritablement, on risque de ne pas pouvoir tenir les canevas traditionnels des examens », a renseigné un enseignant au département de droit privé, Moussa Guèye pour qui, « au mieux on fera une session d’examen, la session de rattrapage communément appelée d’octobre ne pourra plus avoir lieu ».
Toutefois, si les professeurs persistent dans leur grève, l’année ne pourra plus être sauvée, ce qui conduira vers une année blanche. En 2008, une situation similaire s’était découlée par une session unique, occasionnant des résultats catastrophiques.
Face à cette situation qui perdure, il sera difficile de procéder aux deux examens annuels, à savoir la session de juillet et celle d’octobre. « Les résultats n’ont commencé à sortir qu’à la fin du mois de novembre et décembre. Cette année encore, avec cette grève-là, il y a un risque même de pouvoir faire les deux sessions d’examen. Véritablement, on risque de ne pas pouvoir tenir les canevas traditionnels des examens », a renseigné un enseignant au département de droit privé, Moussa Guèye pour qui, « au mieux on fera une session d’examen, la session de rattrapage communément appelée d’octobre ne pourra plus avoir lieu ».
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