L’Ecole Nationale de Statistique et de Démographie (L’ENSAE), rattachée à l’Agence Nationale de la Statistique et de la Démographie (ANSD), a organisé en collaboration avec le Fonds Monétaire International (FMI), a organisé, hier une conférence sur la croissance et les perspectives économiques en Afrique Subsaharienne. Et à l'occasion de laquelle, le Directeur adjoint département Afrique du FMI, est revenu sur les grandes tendances de l’Afrique au cours de ces quinze (15) dernières années. Pour ce dernier, «du fait que l’Afrique a eu en moyenne ces 15 dernières années, une croissance élevée de 5 où 6 % en moyenne, la question qui mérite d'être posée, c'est est-ce que cela peut continuer ? Ou qu’est ce qu’il faut faire pour que cette croissance soit maintenue à long terme ? ».
Selon Roger Nord, «cette rencontre se poursuit aujourd’hui sur l’objectif à cour terme à savoir la chute des matières premières, le resserrement des marchés financiers et voir qu’est ce que cela représente pour l’Afrique à court terme et quelles sont les politiques 2015-2016 pour y arriver ?». Pour sa part, Lucie Mboto Fouda, du département Communication a déclaré que l’ENSAE dans le cadre de cette activité, entend renforcer ses relations avec ses partenaires. «Nous travaillons dans ce sens pour atteindre un taux de croissance élevé pendant une bonne période qui permettrait de résoudre la pauvreté », souligne-t-il. Et de poursuivre: «Atteindre des taux de croissance de 7 où 8% dans les années qui viennent, nous pensons que ce sont des taux qui sont réalisables. De par le monde il y a beaucoup de pays qui ont réussi et pourquoi pas le Sénégal ?".
Ce, d'autant plus que marque Lucie Mboto Fouda, "le potentiel est là, on connait la qualité des ressources au Sénégal, on sait aussi la détermination des autorités" à travers la "mise en place du Plan Sénégal Emergent (PSE), y compris avec l’aide des bailleurs de fonds". "Si le Pse se met en place, il n’y a pas de raison pour que le taux de croissance de 7 à 8% envisagé dans le moyen terme, ne puisse pas être atteint», déclare ce dernier qui reconnait toutefois que cela bloque dans certains secteurs comme l'Energie.
«Au niveau des finances publiques, il y a des choses beaucoup plus transparentes qui permettent de prendre des décisions en matière de politique économique. C’est vrai que nous souhaiterions que cela aille vite car il y a des progrès qui sont réalisés et nous allons continuer mais cela bloque dans certains secteurs, comme celui de l’Energie où de nouvelles unités sont en train d’être mises en place. Et cela va prendre un (1) à deux (2) ans pour pouvoir augmenter la production énergétique", sert-il par ailleurs en insistant toutefois qu'"il y a un programme avec le FMI qui a commencé depuis janvier 2015" avec "un certain nombre de mesures qui sont envisagées".
Selon Roger Nord, «cette rencontre se poursuit aujourd’hui sur l’objectif à cour terme à savoir la chute des matières premières, le resserrement des marchés financiers et voir qu’est ce que cela représente pour l’Afrique à court terme et quelles sont les politiques 2015-2016 pour y arriver ?». Pour sa part, Lucie Mboto Fouda, du département Communication a déclaré que l’ENSAE dans le cadre de cette activité, entend renforcer ses relations avec ses partenaires. «Nous travaillons dans ce sens pour atteindre un taux de croissance élevé pendant une bonne période qui permettrait de résoudre la pauvreté », souligne-t-il. Et de poursuivre: «Atteindre des taux de croissance de 7 où 8% dans les années qui viennent, nous pensons que ce sont des taux qui sont réalisables. De par le monde il y a beaucoup de pays qui ont réussi et pourquoi pas le Sénégal ?".
Ce, d'autant plus que marque Lucie Mboto Fouda, "le potentiel est là, on connait la qualité des ressources au Sénégal, on sait aussi la détermination des autorités" à travers la "mise en place du Plan Sénégal Emergent (PSE), y compris avec l’aide des bailleurs de fonds". "Si le Pse se met en place, il n’y a pas de raison pour que le taux de croissance de 7 à 8% envisagé dans le moyen terme, ne puisse pas être atteint», déclare ce dernier qui reconnait toutefois que cela bloque dans certains secteurs comme l'Energie.
«Au niveau des finances publiques, il y a des choses beaucoup plus transparentes qui permettent de prendre des décisions en matière de politique économique. C’est vrai que nous souhaiterions que cela aille vite car il y a des progrès qui sont réalisés et nous allons continuer mais cela bloque dans certains secteurs, comme celui de l’Energie où de nouvelles unités sont en train d’être mises en place. Et cela va prendre un (1) à deux (2) ans pour pouvoir augmenter la production énergétique", sert-il par ailleurs en insistant toutefois qu'"il y a un programme avec le FMI qui a commencé depuis janvier 2015" avec "un certain nombre de mesures qui sont envisagées".