Le débat organisé par le Secrétariat International de l’Initiative pour la Transparence dans les Industries Extractives sur les contrats pétroliers et gaziers a été houleux. Le ministre des Mines et la Société civile se sont donnés en spectacle hier, mardi 30 octobre, à l’occasion du Panel sur la divulgation de l’identité des propriétaires réels des entreprises extractives.
Aïssatou Sophie Gladima Siby n’a pas hésité à accuser les organisateurs de la Société civile de désinformer la population. Du côté de la Société civile, elle exige la transparence dans la signature des contrats pétroliers et gaziers.
«On signe des contrats qu’on publie. Mais les contrats qu’on signe ne sont pas bons, ils ne sont pas les meilleurs contrats possibles. Cela signifie qu’on est transparent dans la production de référentielles d’informations mais ces informations produites n’ont pas amélioré la qualité de la gouvernance », a déploré le vice-président de la plate-forme «Publier ce que vous payez».
Abdoul Malick Bousso de poursuivre : «le sens, pour nous la Société civile, c’est que les informations doivent permettre de changer la position initiale vers une position meilleure. Nous considérons qu’il faut un consensus pour les hydrocarbures».
Très remontés suites aux accusations du ministre des Mines, la Société civile annonce par la même occasion, qu’elle tiendra une conférence de presse très prochainement pour répondre à Aïssatou Sophie Gladima Siby.
Aïssatou Sophie Gladima Siby n’a pas hésité à accuser les organisateurs de la Société civile de désinformer la population. Du côté de la Société civile, elle exige la transparence dans la signature des contrats pétroliers et gaziers.
«On signe des contrats qu’on publie. Mais les contrats qu’on signe ne sont pas bons, ils ne sont pas les meilleurs contrats possibles. Cela signifie qu’on est transparent dans la production de référentielles d’informations mais ces informations produites n’ont pas amélioré la qualité de la gouvernance », a déploré le vice-président de la plate-forme «Publier ce que vous payez».
Abdoul Malick Bousso de poursuivre : «le sens, pour nous la Société civile, c’est que les informations doivent permettre de changer la position initiale vers une position meilleure. Nous considérons qu’il faut un consensus pour les hydrocarbures».
Très remontés suites aux accusations du ministre des Mines, la Société civile annonce par la même occasion, qu’elle tiendra une conférence de presse très prochainement pour répondre à Aïssatou Sophie Gladima Siby.