Des fonctionnaires bissau-guinéens ont présenté début août, des séries de propositions, lors d’un cycle de négociations à Dakar, dans le but d’obtenir un nouvel accord sur l’exploitation conjointe des ressources pétrolières entre les deux pays voisins.
Le Haut-responsable du ministère des Affaires étrangères de la Guinée-Bissau, Apolinario De Carvalho, avait déclaré que les négociations de Dakar s'étaient bien déroulées et que son pays avait expliqué à la partie sénégalaise cette historique de la division convenue en 1993 et doit être corrigée.
« Nous voulons un nouvel accord qui reflète les intérêts des deux pays. La Guinée-Bissau est aujourd’hui mieux préparée que par le passé pour défendre son point de vue », a souligné le diplomate.
La zone d’exploitation en question couvre environ 25.000 kilomètres carrés et est gérée par une agence de coopération et de gestion basée à Dakar. Cette zone est considérée comme riche en ressources halieutiques ainsi que des hydrocarbures (pétrole et gaz), mais en phase de prospection.
Après la rencontre à Dakar, les deux pays vont se réunir à nouveau les 27, 28 et 29 août, à Bissau pour achever le projet de nouvel accord de partage des ressources pétrolières, gazières et halieutiques, qui sera signé ultérieurement par les dirigeants des deux Etats.
Le Sénégal pourra-t-il maintenir les 85% obtenus lors du premier partage, au regard de toutes la polémique qui tourne autour de ressources pétrolières et gazières. Un autre dossier sensible entre les mains du gouvernement de Macly Sall à quelques mois de l’élection présidentielle.
Le Haut-responsable du ministère des Affaires étrangères de la Guinée-Bissau, Apolinario De Carvalho, avait déclaré que les négociations de Dakar s'étaient bien déroulées et que son pays avait expliqué à la partie sénégalaise cette historique de la division convenue en 1993 et doit être corrigée.
« Nous voulons un nouvel accord qui reflète les intérêts des deux pays. La Guinée-Bissau est aujourd’hui mieux préparée que par le passé pour défendre son point de vue », a souligné le diplomate.
La zone d’exploitation en question couvre environ 25.000 kilomètres carrés et est gérée par une agence de coopération et de gestion basée à Dakar. Cette zone est considérée comme riche en ressources halieutiques ainsi que des hydrocarbures (pétrole et gaz), mais en phase de prospection.
Après la rencontre à Dakar, les deux pays vont se réunir à nouveau les 27, 28 et 29 août, à Bissau pour achever le projet de nouvel accord de partage des ressources pétrolières, gazières et halieutiques, qui sera signé ultérieurement par les dirigeants des deux Etats.
Le Sénégal pourra-t-il maintenir les 85% obtenus lors du premier partage, au regard de toutes la polémique qui tourne autour de ressources pétrolières et gazières. Un autre dossier sensible entre les mains du gouvernement de Macly Sall à quelques mois de l’élection présidentielle.
Autres articles
-
Sénégal : Les prix à la consommation augmentent de 1 % au troisième trimestre 2024, selon l’ANSD
-
10e Revue Annuelle des Réformes de l'UEMOA : le Sénégal évalue ses progrès dans l'intégration régionale
-
Sénégal : le rapport 2024 de la CNUCED met en lumière les défis de la dette, la dépendance aux matières premières ...
-
Coût de la vie et surplus pétrolier : la Banque mondiale dévoile ses prévisions jusqu'en 2026
-
Sécheresse : les femmes produisent 80 % de l’alimentation dans les pays en développement mais possèdent moins de 20 % des terres (ONU)