La police a durement réprimé la manifestation du collectif René Sanchez pour la sauvegarde du stade Assane Diouf appuyé par l'opposition
L’Avenue Malick Sy a vécu un après-midi de tension ce samedi. Le collectif René Sanchez pour la sauvegarde du stade Assane Diouf est passé à l’acte en organisant un sit-in sans autorisation de l’autorité administrative. La manifestation a démarré après la conférence de presse de la coalition Benno Siggil Senegaal pour présenter ses candidats dans les 19 communes de Dakar. Ces jeunes sont vêtus de t-shirt sur lesquels on pouvait lire : «Touche pas à mon stade, Non à la spéculation…». Ils n’ont cessé de scander des slogans fustigeant la démolition du stade Assane Diouf situé à quelques mètres du centre ville et en face de la corniche ouest. Cependant, quand les manifestants ont pris la direction du stade Assane Diouf, les forces de l’ordre sont entrées en action. Une pluie de grenade lacrymogène a commencé à s’abattre sur les manifestants. Une course poursuite s’en est suivie.
C’est dans la foulée que le leader de la Fédération des Ecologistes du Sénégal (FEDES) a été blessé par balle. Il a, en effet, été touché par une balle de type «Flash balle calibre 44/83» au bas ventre. Alors que la tête de liste de la Coalition Benno Siggil Senegaal à Dakar, Khalifa Ababacar Sall et responsable socialiste a été violenté, brutalisé. En plus de ces violences, cinq jeunes de la coalition Benno Siggil Senegaal ont été interpellés par la police. Birame Sassoum Sy, Babacar Thioye Ba et Bira Kane Ndiaye et Ndiogop Ndiaye du Convergence socialiste ont été acheminés à la police de Médina avant d’être transférés au commissariat Central de Dakar.
Excédé par la tournure des événements, le responsable du Parti Socialiste (PS), Khalifa Ababacar Sall a déclaré : «ils ont intérêt à les laisser, car s’ils veulent les garder nous serons dans la rue toute la nuit (samedi)». Selon la tête de liste de Dakar de la coalition Benno Siggil Senegaal, «ils (les forces de police) ont cherché à nous blesser mais c’est cela le combat il faut accepter de souffrir».
Le leader du parti des écologistes est revenu sur les conditions dans lesquelles il a été blessé par balle. «Pour nous empêcher de marcher, de manifester, ils nous ont donné des coups de cross, ils nous ont même tirés dessus», a indiqué Aly Aïdar.
Pour contrer la détermination du collectif René Sanchez pour la sauvegarde du stade Assane Diouf, les autorités policières ont utilisé la méthode forte. C’est aux environs de 15h qu’un impressionnant dispositif a pris d’assaut l’avenue Malick Sy, la rue 6, le boulevard du Dr Samba Guèye, Rue Médonne Mbengue. Six véhicules et deux camions remplis d’éléments de forces de l’ordre ont été mobilisés.
C’est dans la foulée que le leader de la Fédération des Ecologistes du Sénégal (FEDES) a été blessé par balle. Il a, en effet, été touché par une balle de type «Flash balle calibre 44/83» au bas ventre. Alors que la tête de liste de la Coalition Benno Siggil Senegaal à Dakar, Khalifa Ababacar Sall et responsable socialiste a été violenté, brutalisé. En plus de ces violences, cinq jeunes de la coalition Benno Siggil Senegaal ont été interpellés par la police. Birame Sassoum Sy, Babacar Thioye Ba et Bira Kane Ndiaye et Ndiogop Ndiaye du Convergence socialiste ont été acheminés à la police de Médina avant d’être transférés au commissariat Central de Dakar.
Excédé par la tournure des événements, le responsable du Parti Socialiste (PS), Khalifa Ababacar Sall a déclaré : «ils ont intérêt à les laisser, car s’ils veulent les garder nous serons dans la rue toute la nuit (samedi)». Selon la tête de liste de Dakar de la coalition Benno Siggil Senegaal, «ils (les forces de police) ont cherché à nous blesser mais c’est cela le combat il faut accepter de souffrir».
Le leader du parti des écologistes est revenu sur les conditions dans lesquelles il a été blessé par balle. «Pour nous empêcher de marcher, de manifester, ils nous ont donné des coups de cross, ils nous ont même tirés dessus», a indiqué Aly Aïdar.
Pour contrer la détermination du collectif René Sanchez pour la sauvegarde du stade Assane Diouf, les autorités policières ont utilisé la méthode forte. C’est aux environs de 15h qu’un impressionnant dispositif a pris d’assaut l’avenue Malick Sy, la rue 6, le boulevard du Dr Samba Guèye, Rue Médonne Mbengue. Six véhicules et deux camions remplis d’éléments de forces de l’ordre ont été mobilisés.
le leader de la FEDES, Aly Aïdar blessé par balle
Le leader de l'opposition en train de réagir après sa blessure
Une partie de la population en spectateur
La police a réussi à faire le vide à l'avenue Malick Sy X rue 6
Des jeunes de l'opposition arrêtés par la police de Médina, des responsables y font le pied de grue