Sollicité par les étudiants pour mettre fin à l’instabilité scolaire, Pierre Goudiaby a tenu à adresser une lettre au SAES. Il demande aux enseignants du syndicat de « surseoir à leur grève pour une durée de 100 jours afin d’éviter la catastrophe d’une année blanche à l’université ». Pour Atépa, le contexte ne s’y prête pas car « compte tenu des échéances électorales, il nous sera très difficile, voire impossible que vos revendications puissent être satisfaites avant la mise en place du gouvernement qui sera issu de l’élection du 25 mars », a-t-il adressé au secrétaire général du SAES.
Par ailleurs dans cette même lettre, nous indique « Walfadjri », l’architecte rappelle que « les instructions du chef de l’Etat n’ont pas pu être suivies », avant de faire part de la confiance que ledit syndicat avait fait en la personne de Pierre Goudiaby. Toutefois, « le non-respect des instructions du président a abouti à la poursuite de la grève qui menace l’université d’une année blanche », relate cette lettre.
Par ailleurs dans cette même lettre, nous indique « Walfadjri », l’architecte rappelle que « les instructions du chef de l’Etat n’ont pas pu être suivies », avant de faire part de la confiance que ledit syndicat avait fait en la personne de Pierre Goudiaby. Toutefois, « le non-respect des instructions du président a abouti à la poursuite de la grève qui menace l’université d’une année blanche », relate cette lettre.