Chez Fatoumata Mactar Ndiaye, c’est la tristesse la désolation et consternation qui se lit sur les visages de ceux qui sont venus montrer leur soutien à la famille éplorée.
Le frère de la victime raconte: «Au moment où les choses se passaient, j’étais hors de Dakar. Celui qui a commis ce crime est allé à trois (3) reprises chez moi pour demander à ma femme pour sa avoir si j'étais là ou à Touba. Et c’est vers 22 h 30 mn que ma femme lui a finalement dit que j'étais parti avant de lui demander si je lui devais quelque chose. Il lui a répondu que non, qu'il voulait simplement s'assurer que j'étais bien parti».
Poursuivant ses propos, Daha Ndiaye souligne que c'est à la ville sainte de Touba que la nouvelle lui est parvenue. Et, déclare-t-il: «c’est ainsi que je suis rentré accompagné du ministre Pape Gorgui Ndong et à notre arrivée, la maison était pleine de monde».
Dans tous ses états, le frère de Fatoumata Makhtar Ndiaye regrette son absence le jour du meurtre. «Quand on m'a expliqué qu’il est venu dans la chambre à 08 heures, là je me suis dit que c’est de l’argent qu’il était venu chercher. Car c’est lui qui faisait les courses de ma grande sœur, qui allait lui récupérer et déposer de l’argent et il était le seul, avec ma petite soeur, à savoir là où (Fatoumata) gardait son argent».
Le frère de la victime raconte: «Au moment où les choses se passaient, j’étais hors de Dakar. Celui qui a commis ce crime est allé à trois (3) reprises chez moi pour demander à ma femme pour sa avoir si j'étais là ou à Touba. Et c’est vers 22 h 30 mn que ma femme lui a finalement dit que j'étais parti avant de lui demander si je lui devais quelque chose. Il lui a répondu que non, qu'il voulait simplement s'assurer que j'étais bien parti».
Poursuivant ses propos, Daha Ndiaye souligne que c'est à la ville sainte de Touba que la nouvelle lui est parvenue. Et, déclare-t-il: «c’est ainsi que je suis rentré accompagné du ministre Pape Gorgui Ndong et à notre arrivée, la maison était pleine de monde».
Dans tous ses états, le frère de Fatoumata Makhtar Ndiaye regrette son absence le jour du meurtre. «Quand on m'a expliqué qu’il est venu dans la chambre à 08 heures, là je me suis dit que c’est de l’argent qu’il était venu chercher. Car c’est lui qui faisait les courses de ma grande sœur, qui allait lui récupérer et déposer de l’argent et il était le seul, avec ma petite soeur, à savoir là où (Fatoumata) gardait son argent».