Le délai du préfet de Pikine demandant aux familles des sinistrées des inondations de quitter l’école Thierno Salif Ndongo a expiré ce jeudi. Sommés de déguerpir aujourd’hui pour permettre la reprise des cours , les occupants qui s’opposent à l’idée de s’en aller de cet établissement de la banlieue se sont mobilisés et ont brandi des brassards rouges pour extérioriser leur colère et leur désespoir.
Environ soixante (60) familles ont assiégé la cour de l’école Salif Ndongo ce matin pour montrer leur désapprobation face à la mesure du préfet qui les a sommés de décamper pour céder la place aux élèves. Interrogé par nos confrères de Sud FM, le porte-parole des familles sinistrées, Seydou Diallo rappelle que ce sont des citoyens à part entière, dénonçant un « manque de respect » de la part du préfet à leur égard.
Située dans le quartier de Djidah Thiaroye Kao, l’école primaire Thierno Salif Ndongo est un grand établissement divisé en deux cours A et B. Selon la presse, 128 familles sinistrées y ont élu domicile pour fuir les inondations.
Environ soixante (60) familles ont assiégé la cour de l’école Salif Ndongo ce matin pour montrer leur désapprobation face à la mesure du préfet qui les a sommés de décamper pour céder la place aux élèves. Interrogé par nos confrères de Sud FM, le porte-parole des familles sinistrées, Seydou Diallo rappelle que ce sont des citoyens à part entière, dénonçant un « manque de respect » de la part du préfet à leur égard.
Située dans le quartier de Djidah Thiaroye Kao, l’école primaire Thierno Salif Ndongo est un grand établissement divisé en deux cours A et B. Selon la presse, 128 familles sinistrées y ont élu domicile pour fuir les inondations.