Le Collectif de lutte contre la hausse des prix a tenu ce samedi un grand rassemblement pour exiger le changement de la loi de libération des prix. Concernant les denrées de première nécessité, il demande au gouvernement d'exiger sur les emballages de tous les produits des ménages un prix de vente fixe, etc. Et dénonce la hausse du coût de l'électricité.
''Suite à de nombreuses plaintes concernant le coût élevé de la vie, il est temps d'agir et de faire entendre notre voix collective contre cette situation. La première chose à changer au Sénégal, c'est la loi de libération des prix. Depuis plusieurs années, cette loi ne marche pas. Nous sommes face à un système capitaliste, et les acteurs du secteur du commerce n'ont pas froid aux yeux. Ils veulent toujours plus sans se soucier du devenir du consommateur.Il est temps que ça change'', a déclaré Moustapha SANÉ, président du collectif contre la hausse des prix.
Poursuivant ses propos, il ajoute: ''Concernant les danrées de première nécessité, nous demandons au gouvernement d'exiger sur les emballages de tous les ménages un prix de vente fixe...Nous demandons au ministre du Commerce de répertorier et d'immatriculer, si ce n'est pas encore fait, toutes les boutiques et grossistes, de leur attribuer un numéro unique avec QR code, d'exiger l'affichage à l'intérieur et à l'extérieur, et de créer une plateforme où le consommateur pourra faire une réclamation en ligne si un commerçant ne respecte pas les prix qui ont été fixées''.
Pour ce qui est de la hausse de l'électricité, M. Sané et Cie s'insurgent contre la récente hausse excessive des factures de la Senelec. Pour lui, ''avant d'introduire un système de tranches, la senelec aurait dû solliciter l'avis des consommateurs''.
''Suite à de nombreuses plaintes concernant le coût élevé de la vie, il est temps d'agir et de faire entendre notre voix collective contre cette situation. La première chose à changer au Sénégal, c'est la loi de libération des prix. Depuis plusieurs années, cette loi ne marche pas. Nous sommes face à un système capitaliste, et les acteurs du secteur du commerce n'ont pas froid aux yeux. Ils veulent toujours plus sans se soucier du devenir du consommateur.Il est temps que ça change'', a déclaré Moustapha SANÉ, président du collectif contre la hausse des prix.
Poursuivant ses propos, il ajoute: ''Concernant les danrées de première nécessité, nous demandons au gouvernement d'exiger sur les emballages de tous les ménages un prix de vente fixe...Nous demandons au ministre du Commerce de répertorier et d'immatriculer, si ce n'est pas encore fait, toutes les boutiques et grossistes, de leur attribuer un numéro unique avec QR code, d'exiger l'affichage à l'intérieur et à l'extérieur, et de créer une plateforme où le consommateur pourra faire une réclamation en ligne si un commerçant ne respecte pas les prix qui ont été fixées''.
Pour ce qui est de la hausse de l'électricité, M. Sané et Cie s'insurgent contre la récente hausse excessive des factures de la Senelec. Pour lui, ''avant d'introduire un système de tranches, la senelec aurait dû solliciter l'avis des consommateurs''.