Les malheurs continuent de s’abattre sur l’ancien homme fort de la Tunisie et les membres de sa famille. Après sa fuite en Arabie saoudite suite à la pression populaire, une plainte plane sur la tête de l’ancien président de la Tunisie.
Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, la Commission arabe des droits humains, SHERPA et Transparence International France ont déposé «une plainte auprès du Procureur de la République de Paris à l’encontre des membres des familles Ben Ali et Trabelsi afin d’obtenir le gel de leurs avoirs détenus en France». A en croire ces deux organisations, «les dispositions prises par le gouvernement français auprès de la cellule anti-blanchiment (TRACFIN) sont en effet insuffisantes pour empêcher leur délocalisation».
«Plus que jamais, le peuple tunisien a besoin d'une véritable politique de développement durable. Pour cela l'argent qu’aurait volé la bande Ben Ali - Trabelsi doit être restitué au peuple pour qu’il puisse construire son avenir en harmonie avec les droits civiques et économiques », a déclaré Haytham Manna, Porte-parole de la Commission arabe des droits humains.
Selon ces deux organisations, «seul un gel judiciaire peut garantir que ces avoirs soient rapidement restitués au peuple tunisien». C’est pourquoi, elles estiment qu’il «est donc urgent d’agir».
Le communiqué souligne que «selon différentes sources, l’ancien président Ben Ali posséderait un immeuble à Paris estimé à 37 millions d'euros ainsi que des avoirs dans plusieurs banques françaises». «La famille Trabelsi détiendrait, quant à elle,
«plusieurs millions d'euros» sur des comptes bancaires français, des appartements et des propriétés à Paris et en région parisienne, un chalet à Courchevel et des propriétés sur la Côte d'Azur», poursuit la même source.
Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, la Commission arabe des droits humains, SHERPA et Transparence International France ont déposé «une plainte auprès du Procureur de la République de Paris à l’encontre des membres des familles Ben Ali et Trabelsi afin d’obtenir le gel de leurs avoirs détenus en France». A en croire ces deux organisations, «les dispositions prises par le gouvernement français auprès de la cellule anti-blanchiment (TRACFIN) sont en effet insuffisantes pour empêcher leur délocalisation».
«Plus que jamais, le peuple tunisien a besoin d'une véritable politique de développement durable. Pour cela l'argent qu’aurait volé la bande Ben Ali - Trabelsi doit être restitué au peuple pour qu’il puisse construire son avenir en harmonie avec les droits civiques et économiques », a déclaré Haytham Manna, Porte-parole de la Commission arabe des droits humains.
Selon ces deux organisations, «seul un gel judiciaire peut garantir que ces avoirs soient rapidement restitués au peuple tunisien». C’est pourquoi, elles estiment qu’il «est donc urgent d’agir».
Le communiqué souligne que «selon différentes sources, l’ancien président Ben Ali posséderait un immeuble à Paris estimé à 37 millions d'euros ainsi que des avoirs dans plusieurs banques françaises». «La famille Trabelsi détiendrait, quant à elle,
«plusieurs millions d'euros» sur des comptes bancaires français, des appartements et des propriétés à Paris et en région parisienne, un chalet à Courchevel et des propriétés sur la Côte d'Azur», poursuit la même source.