‘’Sur les 77 milliards FCfa dont on a besoin pour la période de 2013 à 2015, nous avons capitalisé environ 43 milliards. Il reste un gap de plus 34 milliards pour compléter le financement’’, a dit Dr Ibra Ndoye, cité par l’Agence de presse sénégalaise (APS).
M. Ndoye s’exprimait mardi au cours d’un atelier national de validation du plan stratégique de lutte contre le Sida pour la période 2011-2015.
‘’Le Sénégal était sélectionné parmi les cinq meilleurs plans stratégiques de lutte contre le Sida sur un nombre de 20 pays, mais le Fonds mondial de lutte contre le VIH/Sida n’a toujours pas compléter la partie de ce programme qui concerne la période 2013-2015’’, a expliqué le secrétaire exécutif du CNLS.
C’est ce qui fait, selon lui, que beaucoup de programmes dans les pays africains ont des problèmes de soutenance sur leur politique de traitement antirétroviral. ‘’Mais le Sénégal est accompagné par des partenaires techniques comme l’USAID qui a décidé de nous financer à hauteur de deux milliards FCFA par an jusqu’en 2016’’, s’est félicité Dr Ndoye.
D’après Ibra Ndoye, le plaidoyer va être continué auprès du comité des partenaires, de la société civile mais surtout des Collectivités locales. ‘’Il faut que les collectivités locales s’engagent dans la dynamique de lutte contre le Sida pour s’approprier de la composante du VIH’’, a-t-il dit, relevant que ‘’des localités comme Kaolack et Louga ont fait des efforts dans ce sens’’.
Le plan stratégique de lutte contre le Sida vise à faire une analyse de la situation de l’épidémie pour apporter des réponses visant à réduire la prévalence. Le plan, qui concerne la période 2011-2015, a un budget global de plus de 128 milliards FCFA.
Des experts, des officiels de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), entre autres, ont pris part à cette rencontre dont l’objectif était de faire une présentation de la situation épidémiologique de la maladie.
M. Ndoye s’exprimait mardi au cours d’un atelier national de validation du plan stratégique de lutte contre le Sida pour la période 2011-2015.
‘’Le Sénégal était sélectionné parmi les cinq meilleurs plans stratégiques de lutte contre le Sida sur un nombre de 20 pays, mais le Fonds mondial de lutte contre le VIH/Sida n’a toujours pas compléter la partie de ce programme qui concerne la période 2013-2015’’, a expliqué le secrétaire exécutif du CNLS.
C’est ce qui fait, selon lui, que beaucoup de programmes dans les pays africains ont des problèmes de soutenance sur leur politique de traitement antirétroviral. ‘’Mais le Sénégal est accompagné par des partenaires techniques comme l’USAID qui a décidé de nous financer à hauteur de deux milliards FCFA par an jusqu’en 2016’’, s’est félicité Dr Ndoye.
D’après Ibra Ndoye, le plaidoyer va être continué auprès du comité des partenaires, de la société civile mais surtout des Collectivités locales. ‘’Il faut que les collectivités locales s’engagent dans la dynamique de lutte contre le Sida pour s’approprier de la composante du VIH’’, a-t-il dit, relevant que ‘’des localités comme Kaolack et Louga ont fait des efforts dans ce sens’’.
Le plan stratégique de lutte contre le Sida vise à faire une analyse de la situation de l’épidémie pour apporter des réponses visant à réduire la prévalence. Le plan, qui concerne la période 2011-2015, a un budget global de plus de 128 milliards FCFA.
Des experts, des officiels de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), entre autres, ont pris part à cette rencontre dont l’objectif était de faire une présentation de la situation épidémiologique de la maladie.