Le Président du Conseil économique et social a souhaité, conformément aux recommandations du Chef de l’Etat que les avis de la quatrième institution soient pris en compte. «Il est évident que notre grand souhait, comme l’a si bien dit M. le Président de la République du Conseil économique et social, c’est que toutes les recommandations issues du Conseil économique et social soient exploitées par le gouvernement», a dit Ousmane Masseck Ndiaye qui animait ce jeudi une conférence de presse consécutive à la fin des plénières tenues du 10 au 21 avril 2010.
D’ailleurs, le Conseil économique et social prévoit de rencontrer le chef du Gouvernement à cet effet. «Nous sommes en train de voir avec le Premier ministre la possibilité, en fin de session, d’inviter les membres du Gouvernement à venir discuter avec le CES sur l’exploitation des rapports issus de nos différentes sessions», a déclaré l’ancien maire de Saint-Louis qui rappelle : «Notre mission n’est pas une mission parlementaire où on exige l’application immédiate des recommandations issues de nos travaux. C’est une mission d’avis».
Pour Ousmane Masseck Ndiaye, le Conseil économique et social est une chambre consultative. Il peut être saisi par le Gouvernement ou l’Assemblée nationale, comme il peut s’autosaisir.
Et sur cette question «c’est le C.E.S qui s’est autosaisi sur plusieurs thèmes», a souligné l’ancien ministre des Collectivités locales qui rappelle : «Plus de dix ont été retenus par les Présidents de Commission». Et c’est dans ce cadre que «nous avons jugé nécessaires de faire venir des ministres pour discuter avec eux», justifie Ousmane Masseck Ndiaye qui a tiré une note très positive de ces sept jours d’échanges entre les conseillers et les différents ministres invités à cet effet.
D’ailleurs, le Conseil économique et social prévoit de rencontrer le chef du Gouvernement à cet effet. «Nous sommes en train de voir avec le Premier ministre la possibilité, en fin de session, d’inviter les membres du Gouvernement à venir discuter avec le CES sur l’exploitation des rapports issus de nos différentes sessions», a déclaré l’ancien maire de Saint-Louis qui rappelle : «Notre mission n’est pas une mission parlementaire où on exige l’application immédiate des recommandations issues de nos travaux. C’est une mission d’avis».
Pour Ousmane Masseck Ndiaye, le Conseil économique et social est une chambre consultative. Il peut être saisi par le Gouvernement ou l’Assemblée nationale, comme il peut s’autosaisir.
Et sur cette question «c’est le C.E.S qui s’est autosaisi sur plusieurs thèmes», a souligné l’ancien ministre des Collectivités locales qui rappelle : «Plus de dix ont été retenus par les Présidents de Commission». Et c’est dans ce cadre que «nous avons jugé nécessaires de faire venir des ministres pour discuter avec eux», justifie Ousmane Masseck Ndiaye qui a tiré une note très positive de ces sept jours d’échanges entre les conseillers et les différents ministres invités à cet effet.