Selon l'ONG, il s’agit de plus de 400 corps. Le gouvernement congolais affirme avoir bien connaissance des cadavres en question.
Les autorités indiquent qu'ils ont été ensevelis nuitamment le mois dernier.
En revanche, le gouvernement affirme qu’il s'agit de fœtus et de cadavres qui étaient en souffrance dans diverses morgues ou personne ne les avait réclamés.
Human Rights Watch soutient qu'il est nécessaire d'établir si des dizaines de manifestants tués en janvier dernier lors de manifestations contre le gouvernement n'en font pas partie.
Les corps ont été enterrés dans le cimetière de Maluku dans la région de Kinshasa rural, à la périphérie de la capitale.