L’Alliance des Forces de Progrès (AFP) a appelé ce lundi 07 à l’unité sans équivoque de l’opposition regroupée dans la Coalition Bennoo Siggil Senegaal. En effet, lors leur réunion présidée par le Secrétaire Général, Moustapha Niasse, ils ont estimé que «les changements qui s’annoncent seront nourris à la source républicaine de la Charte de bonne gouvernance issue des Assises nationales, des recommandations qu’elles ont élaborées et des propositions pertinentes formulées par les populations du Sénégal regroupées dans 35 comités départementaux et de la Diaspora et par les commissions thématiques qui ont figuré parmi les principales composantes de ces Assises historiques».
Par ailleurs ces progressistes soutiennent que: «le Sénégal est en danger, plus qu’il ne l’a jamais été. Les scandales financiers succèdent à des injustices flagrantes commises contre le peuple, contre ses intérêts, contre ses droits, contre ses priorités, contre l’éthique républicaine et contre les valeurs de notre pays».
Selon les camarades de Moustapha Niasse, la CENA, qui est l’organe de régulation et de contrôle des élections et dont le statut et le fonctionnement sont gérés, de manière objective, par une loi de la République, se trouve être la nouvelle cible des appétits de pouvoirs personnels et de dictature du régime en place. Pour eux, le Président de cette Institution, nommé pour un mandat de six années, ne pouvait quitter ce poste qu’à la suite de sa propre démission ou de sa disparition. Malgré la rigueur et la clarté de la loi, et en violation flagrante de cette loi, le Chef de l’Etat a exigé que le Président de la CENA rende sa démission, au motif qu’il serait contre la personne de Me Abdoulaye Wade et qu’il combattrait le parti de celui-ci, le parti démocratique sénégalais et ses alliés.
Ils sont d’avis que le remplacement du Président de la CENA se fera avec une personne qui devra donner toutes les garanties de docilité partiale et de manque de rigueur, dans le but de pouvoir accepter toutes les compromissions devant permettre à Me Abdoulaye Wade et à son régime de piloter, dans les coulisses et selon leur propre volonté, toutes consultations électorales à venir au Sénégal.
Par ailleurs ces progressistes soutiennent que: «le Sénégal est en danger, plus qu’il ne l’a jamais été. Les scandales financiers succèdent à des injustices flagrantes commises contre le peuple, contre ses intérêts, contre ses droits, contre ses priorités, contre l’éthique républicaine et contre les valeurs de notre pays».
Selon les camarades de Moustapha Niasse, la CENA, qui est l’organe de régulation et de contrôle des élections et dont le statut et le fonctionnement sont gérés, de manière objective, par une loi de la République, se trouve être la nouvelle cible des appétits de pouvoirs personnels et de dictature du régime en place. Pour eux, le Président de cette Institution, nommé pour un mandat de six années, ne pouvait quitter ce poste qu’à la suite de sa propre démission ou de sa disparition. Malgré la rigueur et la clarté de la loi, et en violation flagrante de cette loi, le Chef de l’Etat a exigé que le Président de la CENA rende sa démission, au motif qu’il serait contre la personne de Me Abdoulaye Wade et qu’il combattrait le parti de celui-ci, le parti démocratique sénégalais et ses alliés.
Ils sont d’avis que le remplacement du Président de la CENA se fera avec une personne qui devra donner toutes les garanties de docilité partiale et de manque de rigueur, dans le but de pouvoir accepter toutes les compromissions devant permettre à Me Abdoulaye Wade et à son régime de piloter, dans les coulisses et selon leur propre volonté, toutes consultations électorales à venir au Sénégal.