Le socialiste Khalifa Ababacar Sall estimé que seule l’unité des formations politiques de l'opposition peut mener à la victoire au soir des élections de février 2012. «Il ne faut pas qu’on se trompe. Si nous devons gagner, nous devons gagner unis. Le jour où nous seront divisés, il n’y aura plus d’espoir», a reconnu le maire de Dakar à l’émission Grand Jury de la Rfm (privée), ce dimanche.
Sur les candidatures de la société civile, le chargé de la vie politique au parti socialiste (Ps) a soutenu que «personne n’en a le monopole». «Aujourd’hui, cette société civile, qui a accepté de venir réfléchir sur le Sénégal, comme nous prétendent diriger ce pays. Personne n’en a le monopole», a fait remarquer le socialiste.
«La société civile nous a donné une leçon. C’est un peu l’humilité qu’on apprend», a confessé Khalifa Sall. «Pendant les assises, c’est toutes les couches sociales du Sénégal professionnelles, politiques qui se sont réunies pour parler du Sénégal. Les décisions et conclusions des assises constituent notre livre de chevet et notre bréviaire», a-t-il poursuivi.
Sur les candidatures de la société civile, le chargé de la vie politique au parti socialiste (Ps) a soutenu que «personne n’en a le monopole». «Aujourd’hui, cette société civile, qui a accepté de venir réfléchir sur le Sénégal, comme nous prétendent diriger ce pays. Personne n’en a le monopole», a fait remarquer le socialiste.
«La société civile nous a donné une leçon. C’est un peu l’humilité qu’on apprend», a confessé Khalifa Sall. «Pendant les assises, c’est toutes les couches sociales du Sénégal professionnelles, politiques qui se sont réunies pour parler du Sénégal. Les décisions et conclusions des assises constituent notre livre de chevet et notre bréviaire», a-t-il poursuivi.