Le Bureau national du SAES a organisé une conférence de presse, ce mardi pour rappeler à l’Etat leur préavis de grève déposé le 1er février 2020, et qui est arrivé à expiration le 3 mars 2020. À cet effet, le SAES compte réitérer sa position pour une véritable politique de recherche au Sénégal et en Afrique. Ainsi, il demande au ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche de presser le pas pour de véritables discutions. Dans le cas contraire, le SAES compte dérouler progressivement son plan d’actions jusqu'à la résolution totale de ces questions, et tiendra comme seul responsable le gouvernement de toute situation dommageable à l’enseignement supérieur.
« Face au mutisme des autorités et aux manœuvres dilatoires du MESRI, il sera obligé de dérouler progressivement son plan d’actions jusqu'à la résolution totale de ces questions fondamentales pour une université ouverte sur le développement. Le SAES met le gouvernement devant ses responsabilités et le tient seul responsable de toute situation dommageable à l’enseignement supérieur ».
« Le SAES avait demandé au Gouvernement à travers MESRI (Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation) de bien vouloir ouvrir les négociations sur les questions inscrites sur la plateforme revendicative. Malheureusement avec plusieurs alertes et à l'expiration du préavis, le Saes avait entamé la grève. Le président de la République, informé de la situation, s'était impliqué pour dénouer la question relative au décret d'application de la loi-cadre finalement signée le 23 avril 2020. Entre temps, l'avènement de la Covid-19, nous a rattrapé », a indiqué Malick Fall, Secrétaire général national du SAES. Avant de soutenir que le SAES faisant preuve de patriotisme a demandé à tous ses militants de s'impliquer chacun dans son domaine, dans la riposte contre cette maladie
Pour ce qui est de la signature de l'application des textes de gouvernance des universités publiques, Malick Fall a dénoncé que « les universités sénégalaises fonctionnent dans une totale inégalité depuis la promulgation de la loi 2015-26 du 28 décembre 2015 ». Selon lui, une bonne partie des difficultés rencontrées dans les universités publiques en 2019 et 2020 découlent des manquements observés dans l’orientation de 2019 après que le gouvernement avait décidé d’orienter l’ensemble des bacheliers 2019 dans les établissements publics d’enseignement supérieur sans tenir compte des infrastructures pédagogiques dans les universités publiques.
Malick Fall a également noté que le SAES avait demandé au gouvernement de profiter de cette situation pour la finalisation et la livraison des infrastructures pédagogiques dans les différentes universités. "Certes il y a eu quelques pistes avancées, mais l’envol des universités est toujours confrontées à des emplois de temps surréalistes pour arriver a juguler ces manques d’infrastructures et de ressources humaines", regrette le Saes.
« Face au mutisme des autorités et aux manœuvres dilatoires du MESRI, il sera obligé de dérouler progressivement son plan d’actions jusqu'à la résolution totale de ces questions fondamentales pour une université ouverte sur le développement. Le SAES met le gouvernement devant ses responsabilités et le tient seul responsable de toute situation dommageable à l’enseignement supérieur ».
« Le SAES avait demandé au Gouvernement à travers MESRI (Ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation) de bien vouloir ouvrir les négociations sur les questions inscrites sur la plateforme revendicative. Malheureusement avec plusieurs alertes et à l'expiration du préavis, le Saes avait entamé la grève. Le président de la République, informé de la situation, s'était impliqué pour dénouer la question relative au décret d'application de la loi-cadre finalement signée le 23 avril 2020. Entre temps, l'avènement de la Covid-19, nous a rattrapé », a indiqué Malick Fall, Secrétaire général national du SAES. Avant de soutenir que le SAES faisant preuve de patriotisme a demandé à tous ses militants de s'impliquer chacun dans son domaine, dans la riposte contre cette maladie
Pour ce qui est de la signature de l'application des textes de gouvernance des universités publiques, Malick Fall a dénoncé que « les universités sénégalaises fonctionnent dans une totale inégalité depuis la promulgation de la loi 2015-26 du 28 décembre 2015 ». Selon lui, une bonne partie des difficultés rencontrées dans les universités publiques en 2019 et 2020 découlent des manquements observés dans l’orientation de 2019 après que le gouvernement avait décidé d’orienter l’ensemble des bacheliers 2019 dans les établissements publics d’enseignement supérieur sans tenir compte des infrastructures pédagogiques dans les universités publiques.
Malick Fall a également noté que le SAES avait demandé au gouvernement de profiter de cette situation pour la finalisation et la livraison des infrastructures pédagogiques dans les différentes universités. "Certes il y a eu quelques pistes avancées, mais l’envol des universités est toujours confrontées à des emplois de temps surréalistes pour arriver a juguler ces manques d’infrastructures et de ressources humaines", regrette le Saes.
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