Géographiquement, la région de Dakar enregistre la plus faible augmentation du nombre de pauvres qui est passé de 813 694 à 825 908 soit 2% entre 2005 et 2011 pendant ce temps le pourcentage est à 7% dans le milieu rural. Le document montre ainsi des disparités entre les zones urbaines et les zones rurales. Ainsi, la pauvreté est à 57,3% en zone rurale, 26,1% à Dakar et 41,3% dans les autres zones urbaines. De même au niveau régional, les disparités sont importantes et ces régions présentent les niveaux de pauvreté les plus élevés: Kolda enregistre 76,6%, Kédougou 71,3%, Sédhiou 68,3%, Fatick 67,8% et Ziguinchor 66,8%.
Concernant l’instruction, le document révèle que l’incidence de la pauvreté a atteint 54% pour les chefs de ménage sans instruction, 34,2% pour ceux qui ont le niveau primaire, 26,3% pour le niveau secondaire et 8,3% pour ceux qui ont le niveau supérieur. Le déséquilibre relativement au genre apparaît au grand jour avec l’incidence de la pauvreté monétaire qui est de 34,7% dans les ménages dirigés par des femmes contre 50,6% dans des foyers dirigés par des hommes. L’état matrimonial du chef de ménage est aussi pris en compte. Ainsi l’incidence de pauvreté est de 36,3% chez les personnes vivant dans des ménages dirigés par des célibataires, 46,7% chez les ménages monogames et 50,1% chez les ménages polygames. Selon l’âge, les ménages dirigés par des personnes ayant plus de 60 ans sont plus touchés par la pauvreté car souvent inactives ou retraitées. D’ailleurs le document précise que les personnes du troisième âge représentent 38,7% de l’effectif total des pauvres.
Concernant l’instruction, le document révèle que l’incidence de la pauvreté a atteint 54% pour les chefs de ménage sans instruction, 34,2% pour ceux qui ont le niveau primaire, 26,3% pour le niveau secondaire et 8,3% pour ceux qui ont le niveau supérieur. Le déséquilibre relativement au genre apparaît au grand jour avec l’incidence de la pauvreté monétaire qui est de 34,7% dans les ménages dirigés par des femmes contre 50,6% dans des foyers dirigés par des hommes. L’état matrimonial du chef de ménage est aussi pris en compte. Ainsi l’incidence de pauvreté est de 36,3% chez les personnes vivant dans des ménages dirigés par des célibataires, 46,7% chez les ménages monogames et 50,1% chez les ménages polygames. Selon l’âge, les ménages dirigés par des personnes ayant plus de 60 ans sont plus touchés par la pauvreté car souvent inactives ou retraitées. D’ailleurs le document précise que les personnes du troisième âge représentent 38,7% de l’effectif total des pauvres.
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