Le projet de document de politique foncière a été adopté à l’unanimité par le Conseil Economique Social et Environnemental (CESE) avec comme principal recommandation l’adoption d’une loi d’orientation de la politique foncière, l’adoption d’un chronogramme…
La spéculation foncière, les litiges fonciers, la problématique de l’accès aux femmes à la terre, aucune de ces questions sur le foncier n’a été occultée par les membres du CESE.
«La principale recommandation, c’est vraiment d’aller vers un chronogramme pour aller assez rapidement vers l’élaboration d’une législation foncière puisque qu’après ce document de politique foncière qui est très bien fouillée, il y a un consensus de l’ensemble des acteurs, sous les orientations et la vision de la politique foncière au Sénégal, aller maintenant assez rapidement, établir un chronogramme qui nous enferme dans des délais pour aller vers une législation foncière qui va régler les problèmes de litiges fonciers qu’on peut constater aujourd’hui», a préconisé Maïmouna Isabel Dieng, rapporteuse qui insiste par ailleurs sur «une loi d’orientation adoptée au niveau de l’Assemblée nationale pour toujours renforcer le consensus et l’appropriation de tous de ce document de politique qui doit être un document fondateur pour aller vers une législation qui soit acceptée par tous».
La problématique de l’accès des femmes à la terre a été prise en compte par le document.
La spéculation foncière, les litiges fonciers, la problématique de l’accès aux femmes à la terre, aucune de ces questions sur le foncier n’a été occultée par les membres du CESE.
«La principale recommandation, c’est vraiment d’aller vers un chronogramme pour aller assez rapidement vers l’élaboration d’une législation foncière puisque qu’après ce document de politique foncière qui est très bien fouillée, il y a un consensus de l’ensemble des acteurs, sous les orientations et la vision de la politique foncière au Sénégal, aller maintenant assez rapidement, établir un chronogramme qui nous enferme dans des délais pour aller vers une législation foncière qui va régler les problèmes de litiges fonciers qu’on peut constater aujourd’hui», a préconisé Maïmouna Isabel Dieng, rapporteuse qui insiste par ailleurs sur «une loi d’orientation adoptée au niveau de l’Assemblée nationale pour toujours renforcer le consensus et l’appropriation de tous de ce document de politique qui doit être un document fondateur pour aller vers une législation qui soit acceptée par tous».
La problématique de l’accès des femmes à la terre a été prise en compte par le document.