La gestion de Mountaga Sy, directeur général du Port Autonome de Dakar fait jaser. Une mauvaise gouvernance et de gaspillage sans précédent, établissant ainsi de tristes records est décriée par le Collectif de Défenses des Intérêts du Port Autonome de Dakar (CDIPAD). Ces derniers ont adressé une lettre au président de la République Bassirou Diomaye Faye pour qu’il mette un terme à cette situation.
Dans le document, le collectif avance que leur Dg « depuis qu’il a senti la fin du régime, il a lancé une série de recrutement sauvage tous azimuts qui frise le sabotage ». Et ceci porte sur « plus de 1000 personnes ont été recrutées ces derniers mois. »
Pis, le collectif fait savoir que les nouvelles missions de la direction du capital Humain se résument « exclusivement à établir des contrats de CDD et de CDI au profit des ressortissants de Matam particulièrement ceux de son village natal Areo Lao », peut-on lire dans le document.
Les accusateurs poursuivent dans leur lettre que Mountaga Sy pour se protéger, « le stratagème qu’il a trouvé est de demander à certains directeurs sectoriels, acquis à sa cause et soucieux de préserver leurs fauteuils, de faire une expression de besoin de recrutement inexistant car toutes ses directions ont déjà un personnel pléthorique. Ce qui lui a permis de recruter plus d’une centaine d’agents au niveau de Centre Opérationnel Polyvalent (COP), plus d’une centaine de personnes à la Direction des Services Techniques et de l’Aménagement ou une pléthore d’agents sont déjà embauchés ».
En attendant le démarrage des activités portuaires prévu en 2029 ses nouvelles recrues dorment tranquillement chez eux. Plus d’une centaine à la Direction de l’Exploitation dont le Directeur est un Parent. Mais le plus gros recrutement a été fait avec la complicité de la Cellule Qualité Sécurité et Environnement CQHE.
En plus de cela, le collectif révèle un recrutement de plus de « 340 personnes ont été recrutées comme agents de nettoyage alors que ses mêmes jeunes sont rentrés au port comme Dockers journaliers qui travaillaient pour le compte du syndicat des Dockers SATS » et les jeunes sont tous originaires de « Arèo Lao qui sont gracieusement payés ne font que se tourner les pouces toute la journée car le port a déjà contracté avec des services de nettoyage ». Alors que « le port est en partenariat avec l’UCG. »
Dans le document, le collectif avance que leur Dg « depuis qu’il a senti la fin du régime, il a lancé une série de recrutement sauvage tous azimuts qui frise le sabotage ». Et ceci porte sur « plus de 1000 personnes ont été recrutées ces derniers mois. »
Pis, le collectif fait savoir que les nouvelles missions de la direction du capital Humain se résument « exclusivement à établir des contrats de CDD et de CDI au profit des ressortissants de Matam particulièrement ceux de son village natal Areo Lao », peut-on lire dans le document.
Les accusateurs poursuivent dans leur lettre que Mountaga Sy pour se protéger, « le stratagème qu’il a trouvé est de demander à certains directeurs sectoriels, acquis à sa cause et soucieux de préserver leurs fauteuils, de faire une expression de besoin de recrutement inexistant car toutes ses directions ont déjà un personnel pléthorique. Ce qui lui a permis de recruter plus d’une centaine d’agents au niveau de Centre Opérationnel Polyvalent (COP), plus d’une centaine de personnes à la Direction des Services Techniques et de l’Aménagement ou une pléthore d’agents sont déjà embauchés ».
En attendant le démarrage des activités portuaires prévu en 2029 ses nouvelles recrues dorment tranquillement chez eux. Plus d’une centaine à la Direction de l’Exploitation dont le Directeur est un Parent. Mais le plus gros recrutement a été fait avec la complicité de la Cellule Qualité Sécurité et Environnement CQHE.
En plus de cela, le collectif révèle un recrutement de plus de « 340 personnes ont été recrutées comme agents de nettoyage alors que ses mêmes jeunes sont rentrés au port comme Dockers journaliers qui travaillaient pour le compte du syndicat des Dockers SATS » et les jeunes sont tous originaires de « Arèo Lao qui sont gracieusement payés ne font que se tourner les pouces toute la journée car le port a déjà contracté avec des services de nettoyage ». Alors que « le port est en partenariat avec l’UCG. »