Lors d’un cocktail organisé à l’honneur des lauréats suite à la cérémonie de remise des prix, Ousmane Sonko a tenu un discours même si salué par certains en dit long sur l’égalité qu’il dit prôner. S’exprimant sur le port de voile en milieu scolaire, le Premier ministre a été ferme dans ses propos, « on n’acceptera plus l’interdiction du voile dans les établissements scolaires », a-t-il lancé.
Des propos qui ne sont pas sans conséquence, car quiconque l’entend sait à qui il fait allusion et se sont carrément les établissements privés catholique.
Dans une note, B. Barthelemy Ndiaye a tenu à faire un rappel au PM Sonko sur l’apport de l’Église sur la lutte qui lui a porté aujourd’hui là où il est pour pouvoir prendre ce genre de décision. « Sonko promet de s’attaquer à certains établissements scolaires qui interdisent le port du voile. Je pense qu’il s’adresse au secteur privé catholique et il faut oser le dire. Cette minorité qu’il minimise a été d’un grand apport durant les rencontres de Diamniadio, celles relatives au report des élections. C’est resté dans nos mémoires et courageusement l’église, à travers la réponse de Abraham Tine, pdt du laïcat, a osé dire la vérité au président de la République, SEM. Macky Sall devant un parterre de représentants sénégalais toutes catégories civiles et religieuses, qui la plupart ont montré un profil bas. La suite a donné raison à l’Eglise », a -t-il indiqué.
Poursuivant : « Il y a au Sénégal des cités religieuses où l’enseignement occidental y est interdit à la limite, où la charia y est presque imposée et personne n’en parle au détriment des citoyens qui sont obligés d’envoyer leurs enfants ailleurs pour apprendre. Les priorités sont nombreuses et ailleurs comme les enfants dans la rue, etc. Le président de la République, M. Bassirou Diomaye Diakher Faye a démarré son cursus scolaire dans le seul établissement scolaire qui existait dans son village et il connaît bien la valeur de cette institution.
« Je m’attendais à des félicitations, voire des encouragements au Privé catholique compte tenu des résultats et autres performances obtenus. Certes, nous sommes une minorité en tenant compte du nombre, mais puissante du fait de l’esprit qui nous anime et qui est le « Saint-Esprit », conclut B. Barthélémy Ndiaye.
Des propos qui ne sont pas sans conséquence, car quiconque l’entend sait à qui il fait allusion et se sont carrément les établissements privés catholique.
Dans une note, B. Barthelemy Ndiaye a tenu à faire un rappel au PM Sonko sur l’apport de l’Église sur la lutte qui lui a porté aujourd’hui là où il est pour pouvoir prendre ce genre de décision. « Sonko promet de s’attaquer à certains établissements scolaires qui interdisent le port du voile. Je pense qu’il s’adresse au secteur privé catholique et il faut oser le dire. Cette minorité qu’il minimise a été d’un grand apport durant les rencontres de Diamniadio, celles relatives au report des élections. C’est resté dans nos mémoires et courageusement l’église, à travers la réponse de Abraham Tine, pdt du laïcat, a osé dire la vérité au président de la République, SEM. Macky Sall devant un parterre de représentants sénégalais toutes catégories civiles et religieuses, qui la plupart ont montré un profil bas. La suite a donné raison à l’Eglise », a -t-il indiqué.
Poursuivant : « Il y a au Sénégal des cités religieuses où l’enseignement occidental y est interdit à la limite, où la charia y est presque imposée et personne n’en parle au détriment des citoyens qui sont obligés d’envoyer leurs enfants ailleurs pour apprendre. Les priorités sont nombreuses et ailleurs comme les enfants dans la rue, etc. Le président de la République, M. Bassirou Diomaye Diakher Faye a démarré son cursus scolaire dans le seul établissement scolaire qui existait dans son village et il connaît bien la valeur de cette institution.
« Je m’attendais à des félicitations, voire des encouragements au Privé catholique compte tenu des résultats et autres performances obtenus. Certes, nous sommes une minorité en tenant compte du nombre, mais puissante du fait de l’esprit qui nous anime et qui est le « Saint-Esprit », conclut B. Barthélémy Ndiaye.