S’entretenant avec des journalistes, mercredi, Khadim Diop a lancé un cri d’alarme, en appelant à « une intervention urgente » de l’État pour sauver la production d’oignon menacée de pourrissement faute de pouvoir être écoulée sur le marché.
« Chaque année, nous produisons des quantités considérables d’oignon, mais nous sommes confrontés au problème récurrent : l’absence d’infrastructures adéquates pour le stockage et la commercialisation », a insisté le porte-parole de la plateforme des producteurs d’oignon de Potou, Khadim Diop.
Selon Khadim Diop, « la demande des producteurs d’oignon est claire : une action immédiate de régulation du marché pour contrer les pratiques déloyales des grands acteurs de l’agro-business, qui dictent les prix et nuisent aux petits producteurs, pour sauver la production d’oignon menacée de pourrissement faute de pouvoir être écoulée sur le marché », a-t-il déclaré, à l’issue d’une visite au centre de stockage de Potou.
« Après des mois de labeur intense, nous sommes contraints de stocker nos récoltes, faute de trouver des acheteurs sur le marché, alors que cette situation économique précaire se répercute également sur les travailleurs agricoles, dont les salaires dépendent directement de la vente des récoltes », a dit Khadim Diop expliquant que les producteurs ne peuvent rémunérer leurs ouvriers que s’ils parviennent à écouler leurs produits.
« Chaque année, nous produisons des quantités considérables d’oignon, mais nous sommes confrontés au problème récurrent : l’absence d’infrastructures adéquates pour le stockage et la commercialisation », a insisté le porte-parole de la plateforme des producteurs d’oignon de Potou, Khadim Diop.
Selon Khadim Diop, « la demande des producteurs d’oignon est claire : une action immédiate de régulation du marché pour contrer les pratiques déloyales des grands acteurs de l’agro-business, qui dictent les prix et nuisent aux petits producteurs, pour sauver la production d’oignon menacée de pourrissement faute de pouvoir être écoulée sur le marché », a-t-il déclaré, à l’issue d’une visite au centre de stockage de Potou.
« Après des mois de labeur intense, nous sommes contraints de stocker nos récoltes, faute de trouver des acheteurs sur le marché, alors que cette situation économique précaire se répercute également sur les travailleurs agricoles, dont les salaires dépendent directement de la vente des récoltes », a dit Khadim Diop expliquant que les producteurs ne peuvent rémunérer leurs ouvriers que s’ils parviennent à écouler leurs produits.