Les layènes du village de Cambérène préparent leur 7ème édition de la fête du 1er mai. Une fête du travail qui s’annonce exceptionnelle pour l’Association Xaley Mame Seydi et Dahira Wildaanu Ahloulahi. Par rapport à l’histoire de l’émissaire qui défraie la chronique, mais aussi aux relations entre la communauté layène et les autorités étatiques, le marabout Serigne Idrissa Laye, à la tête des jeunes de cette association, promet de faire des déclarations jusque-là jamais connues par l’opinion.
C’est ce jeudi dans l’ancienne mairie de Cambérène que les layènes de cette cité, très remontés contre la ségrégation dont ils disent être victimes, ont fait part aux journalistes de leur intention de faire d’énormes révélations à la date du 1er mai prochain. En effet, après avoir rappelé l’importante contribution de leur village et de leur confrérie à l’histoire du Sénégal, ces jeunes disciples du fondateur de la cité religieuse crient leur «y’en a marre» du «manque de considération» et les «traitements inéquitables» dont ils font l’objet.
Le petit fils de Seydina Limamoulaye promet de terribles divulgations sur les rapports entre le président sortant, Abdoulaye Wade et leur khalife avant l’alternance, mais surtout sur l’histoire de la STEP qui alimente aujourd’hui les débats.
Mamadou Sakhir Ndiaye
C’est ce jeudi dans l’ancienne mairie de Cambérène que les layènes de cette cité, très remontés contre la ségrégation dont ils disent être victimes, ont fait part aux journalistes de leur intention de faire d’énormes révélations à la date du 1er mai prochain. En effet, après avoir rappelé l’importante contribution de leur village et de leur confrérie à l’histoire du Sénégal, ces jeunes disciples du fondateur de la cité religieuse crient leur «y’en a marre» du «manque de considération» et les «traitements inéquitables» dont ils font l’objet.
Le petit fils de Seydina Limamoulaye promet de terribles divulgations sur les rapports entre le président sortant, Abdoulaye Wade et leur khalife avant l’alternance, mais surtout sur l’histoire de la STEP qui alimente aujourd’hui les débats.
Mamadou Sakhir Ndiaye