« Pour l’honneur de la gendarmerie », le livre du colonel Abdoulaye Aziz Ndaw, continue à faire trembler la République. Ce brûlot à deux Tomes, qui met en accusation de plus hauts responsables de l’appareil d’Etat constitue une véritable patate chaude pour le palais. Au moindre défaut de manipulation, bonjour les dégâts.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, le président Macky Sall et ses conseils tentent de trouver une solution des plus discrètes à cette « affaire d‘état ». En effet, ce n’est pas que le président Sall ne veuille pas faire la lumière sur ce qu’il convient désormais d’appeler « l’affaire Colonel Ndaw », mais discret qu’il est quand il s’agit de la gestion des affaires publiques, Macky Sall ne veut pas que le linge sale s’étale sur la place publique.
Que les auditions d’anciens pontes de la République, dont son prédécesseur au palais Me Abdoulaye Wade, l’ancien Ministre des Forces Armées Becaye Diop et tant d’autres, comme voulu par le député de la majorité Moustapha Diakhaté, n’ouvre la voie à des règlements de compte et déballages plus graves que ceux contenus dans le livre, mais aussi à une guerre entre officiers supérieurs de la maréchaussée.
Ce qui serait fatale à la gestion de la sécurité nationale et à la stabilité politique du pays.L’option du gouvernement est donc de gérer cette affaire sans faire de bruit.
Le Colonel Abdoulaye Aziz Ndaw a été ancien commandant en second de la gendarmerie nationale de 2005 à 2007. Il accuse dans ces deux œuvres, l’ancien Haut Commandant de la Gendarmerie, le général Abdoulaye Fall et d’autres personnalités politiques et militaires de corruption, malversation et concussion. De la nébuleuse dans le cadre de la gestion de la crise casamançaise, à l’assassinat d’Omar Lamine Badji, en passant par la machination ayant aboutie à son limogeage, le colonel Abdoulaye Aziz Ndaw dit tout.
C’est d’ailleurs la raison pour laquelle, le président Macky Sall et ses conseils tentent de trouver une solution des plus discrètes à cette « affaire d‘état ». En effet, ce n’est pas que le président Sall ne veuille pas faire la lumière sur ce qu’il convient désormais d’appeler « l’affaire Colonel Ndaw », mais discret qu’il est quand il s’agit de la gestion des affaires publiques, Macky Sall ne veut pas que le linge sale s’étale sur la place publique.
Que les auditions d’anciens pontes de la République, dont son prédécesseur au palais Me Abdoulaye Wade, l’ancien Ministre des Forces Armées Becaye Diop et tant d’autres, comme voulu par le député de la majorité Moustapha Diakhaté, n’ouvre la voie à des règlements de compte et déballages plus graves que ceux contenus dans le livre, mais aussi à une guerre entre officiers supérieurs de la maréchaussée.
Ce qui serait fatale à la gestion de la sécurité nationale et à la stabilité politique du pays.L’option du gouvernement est donc de gérer cette affaire sans faire de bruit.
Le Colonel Abdoulaye Aziz Ndaw a été ancien commandant en second de la gendarmerie nationale de 2005 à 2007. Il accuse dans ces deux œuvres, l’ancien Haut Commandant de la Gendarmerie, le général Abdoulaye Fall et d’autres personnalités politiques et militaires de corruption, malversation et concussion. De la nébuleuse dans le cadre de la gestion de la crise casamançaise, à l’assassinat d’Omar Lamine Badji, en passant par la machination ayant aboutie à son limogeage, le colonel Abdoulaye Aziz Ndaw dit tout.
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