«J’invite tous les citoyens qui ont des positions d’influence comme les Khalifes généraux, le Cardinal, les grands artistes, les intellectuels, les journalistes, la Société civile à se mobiliser autour de cette notion de respect par tous de la loi et surtout de la loi fondamentale», a campé Idrissa Seck qui tient la vérité comme à la prunelle de ses yeux. «Sans vérité, il n’y a pas de, il n’y a pas de stabilité, il n’y aura pas de tranquillité. Et il faut se prémunir contre les troubles qui naissent d’une violation de la loi», a-t-il développé qui estime qu’au-delà de la discussion interne au niveau du PDS, la question reste celle de l’Etat de droit.
«Je pense que la question de l’Etat de droit et du respect de la loi et en particulier de la loi fondamentale est une question qui concerne chaque citoyen et même nos partenaires au développement. Puisque le premier fondement à une société démocratique, c’est le respect par tous de la loi», a dit Idrissa Seck qui pense que «si on admet que la loi soit violée, ce n’est pas la peine de se battre pour le processus électoral. Car il n’y a qu’une seule bataille, c’est de faire en sorte que tout le monde, le Président de la république, le premier, respecte la constitution et les lois du pays».
C’est dans ce cadre qu’il a consulté des spécialistes pour voir plus clair. Car, dit-il, son souci reste la tranquillité.
A l’en croire, sa démarche est dictée par le bien être. «Tout mon souci, en tant qu’homme politique, c’est la paix, la stabilité et la tranquillité qui sont indispensables à l’éclosion des talents de tous les Sénégalais. Sans ces trois éléments, il n’y a pas de développement possible. Mais la paix est un arbre qui ne pousse que dans la terre de la vérité et de la justice».
Par ailleurs, il a regretté la sortie de l’UJTL qui demande son exclusion. «Je trouve cela regrettable parce que nous sommes un parti, par essence et par définition démocratique, c’est-à-dire qui autorise les débats et même la divergence de point de vue.
Si à chaque fois qu’une opinion divergente s’exprime, son auteur est exclu, il ne restera pas grand monde dans le parti. (....)», a clamé Idrissa Seck.
«Je pense que la question de l’Etat de droit et du respect de la loi et en particulier de la loi fondamentale est une question qui concerne chaque citoyen et même nos partenaires au développement. Puisque le premier fondement à une société démocratique, c’est le respect par tous de la loi», a dit Idrissa Seck qui pense que «si on admet que la loi soit violée, ce n’est pas la peine de se battre pour le processus électoral. Car il n’y a qu’une seule bataille, c’est de faire en sorte que tout le monde, le Président de la république, le premier, respecte la constitution et les lois du pays».
C’est dans ce cadre qu’il a consulté des spécialistes pour voir plus clair. Car, dit-il, son souci reste la tranquillité.
A l’en croire, sa démarche est dictée par le bien être. «Tout mon souci, en tant qu’homme politique, c’est la paix, la stabilité et la tranquillité qui sont indispensables à l’éclosion des talents de tous les Sénégalais. Sans ces trois éléments, il n’y a pas de développement possible. Mais la paix est un arbre qui ne pousse que dans la terre de la vérité et de la justice».
Par ailleurs, il a regretté la sortie de l’UJTL qui demande son exclusion. «Je trouve cela regrettable parce que nous sommes un parti, par essence et par définition démocratique, c’est-à-dire qui autorise les débats et même la divergence de point de vue.
Si à chaque fois qu’une opinion divergente s’exprime, son auteur est exclu, il ne restera pas grand monde dans le parti. (....)», a clamé Idrissa Seck.
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