Le journaliste Cheikh Yérim Seck, invité de l’émission Remue Ménage de la Rfm de ce dimanche 6 mars 2011, a estimé que pour régler le problème de la Casamance, il y a une question fondamentale qu’il faut d’abord régler. De son avis, ce problème c’est Yahya Jammeh. «Tant qu’on ne règlera pas le problème Yahya Jammeh, les gens passeront leur temps à tourner autour du peau, à faire de la langue de bois diplomatique. Tant que ce problème n’est pas régler, la question de la Casamance ne se règlera pas».
Le journaliste de " Jeune Afrique" est convaincu qu’il «faut régler l’équation Yahya Jammeh. Parce que tout ce qu’on est en train de faire là, y compris la rupture des relations diplomatique avec l’Iran pour moi, c’est contourner le problème».
L’inconnu qui complique, qui densifie l’équation de la Casamance, dit-il, c’est Yahya Jammeh. Tant que le Sénégal ne règle pas ce problème de façon frontale, il y aura toujours problème.
Cheikh Yérim Seck de décrire Yahya Jammeh, comme l’une des curiosités politiques contemporaines de l’Afrique. «Je le considère comme étant quelqu’un de complexe, c’est quelqu’un qui a vis-à-vis du Sénégal, des complexes aigus» a-t-il souligné.
Le journaliste de " Jeune Afrique" est convaincu qu’il «faut régler l’équation Yahya Jammeh. Parce que tout ce qu’on est en train de faire là, y compris la rupture des relations diplomatique avec l’Iran pour moi, c’est contourner le problème».
L’inconnu qui complique, qui densifie l’équation de la Casamance, dit-il, c’est Yahya Jammeh. Tant que le Sénégal ne règle pas ce problème de façon frontale, il y aura toujours problème.
Cheikh Yérim Seck de décrire Yahya Jammeh, comme l’une des curiosités politiques contemporaines de l’Afrique. «Je le considère comme étant quelqu’un de complexe, c’est quelqu’un qui a vis-à-vis du Sénégal, des complexes aigus» a-t-il souligné.
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