Le célèbre tik tokeur Italo-sénégalais qui s'est révélé à la face du monde durant la Covid 19 a assigné en justice Expresso Sénégal. Une affaire reste pendante devant les juridictions sénégalaises depuis plusieurs mois. Le cabinet de Me Bamba Cissé est à ce titre commis pour gérer les intérêts de Monsieur Lam. Dans le communiqué parvenu à PressAfrik, la société Khaby Lam Sarl, établie à Milan tient à informer les sénégalais de ce conflit opposant le tik tokeur à la société de télécommunication. Sur la note la société Khaby Lam Sarl reproche Expresso Sénégal l'utilisation de manière illégale et frauduleuse de l'image de Serigne Khabane Lame dit Khaby. "Cette utilisation se fait en violation flagrante des lois sénégalaises et internationales car ne se basant sur aucun contrat en vigueur", a poursuit le communiqué.
Dans le document, la partie civile a procédé à la chronologie des faits. "Le 17 janvier 2022 Monsieur Serigne Khabane Lame dit Khaby avait signé un contrat d’une (1) année avec le Groupe Expresso Télécom, maison mère d’Expresso Sénégal. Ledit contrat stipulait clairement que la durée du contrat n’était renouvelable que sur accord des deux parties. Au terme du contrat, aucun accord de prolongation n’a été conclu ni par Serigne Khabane Lame ni par la société IRON qui le représentait à l'époque", relate-t-on.
Ce qui irrite les représentants de monsieur Lam, c'est qu'après un an la fin du contrat la société mise en cause continue "d'utiliser toujours l’image de Khaby Lame pour des campagnes publicitaires en totale violation de la loi". Des faits jugés d'une extrême gravité avec des pertes inestimables pour le concerné.
Dans le document, la partie civile a procédé à la chronologie des faits. "Le 17 janvier 2022 Monsieur Serigne Khabane Lame dit Khaby avait signé un contrat d’une (1) année avec le Groupe Expresso Télécom, maison mère d’Expresso Sénégal. Ledit contrat stipulait clairement que la durée du contrat n’était renouvelable que sur accord des deux parties. Au terme du contrat, aucun accord de prolongation n’a été conclu ni par Serigne Khabane Lame ni par la société IRON qui le représentait à l'époque", relate-t-on.
Ce qui irrite les représentants de monsieur Lam, c'est qu'après un an la fin du contrat la société mise en cause continue "d'utiliser toujours l’image de Khaby Lame pour des campagnes publicitaires en totale violation de la loi". Des faits jugés d'une extrême gravité avec des pertes inestimables pour le concerné.