Affaire mort du sapeur pompier au cours de sa formation à Thiès, la thèse du meurtre se confirme. La mort de Chérif Ndao, torturé devient une véritable bombe entre les mains de la haute hiérarchie du Groupement national des sapeurs-pompiers. En effet, malgré les dénégations et la stratégie déployée par les soldats du feu pour justifier "une mort naturelle" en raison d'une cardiopathie contre la thèse de torture soulevée par la famille de Chérif Ndao, dès les premières heures de l’enquête sur la bavure, la vérité éclate au grand jour.
Le diagnostic du Professeur Diatta, responsable du Service d’assistance et des urgences de l’hôpital Principal de Dakar, est sans appel : "Chérif Ndao a été froidement assassiné". Une précision qui vient corroborer, selon le journal "le quotidien", les conclusions contenues dans le dossier médical du défunt que le service avait réalisé au soir de la mort tragique du jeune soldat.
Le diagnostic du Professeur Diatta, responsable du Service d’assistance et des urgences de l’hôpital Principal de Dakar, est sans appel : "Chérif Ndao a été froidement assassiné". Une précision qui vient corroborer, selon le journal "le quotidien", les conclusions contenues dans le dossier médical du défunt que le service avait réalisé au soir de la mort tragique du jeune soldat.